vendredi, janvier 31, 2025
spot_imgspot_imgspot_imgspot_img
Accueil Blog Page 41

Pape Ndiaye de Walf s’en prend à l’opposition et tresse des lauriers au Général Moussa Fall

Le journaliste Chroniqueur de Walf TV, Pape Ndiaye a fait une sortie qui ne va pas tarder à susciter des réactions.
En ouvrant son émission ” Balance ” d’hier sur Walfadjri, Pape Ndiaye a fait une précision de taille devant son assistance concernant la personne de Moussa Fall.

Selon lui, le Haut commandant de la Gendarmerie, Directeur de la justice militaire est le meilleur général de la Gendarmerie, renseigne le journal les Échos.

Ainsi, il a même promis d’y revenir lorsqu’il reprendra ses chroniques. Pape Ndiaye a aussi indiqué que des leaders de l’opposition encouragent l’émigration clandestine en finançant les jeunes pour qu’ils fassent le voyage. Cela aussi, il a promis de le dénoncer quand il reprendra ses chroniques.

Espérons qu’il s’est préparé parce que ceux qui le portaient en triomphe vont le descendre en flammes.

Un camion dérape et fini sa course sous un pont d’eau

Un camion dérape et finit sa course sous un pont remplit d’eau au village de Tenkotoding à 18 kilomètres de Kedougou hier, vers 21 heures. Le chauffeur est resté coincé dans le camion. Le drame a plongé aux habitants de cette localité dans une panique totale.

Les passagers d’un autre véhicule se sont précipités à aider le chauffeur qui hurlait de douleur. Aucune perte de vie notait sauf d’importants dégâts matériels sont à déplorer. Des mesures plus hardies sont attendues pour éviter de tels drames surtout sur cette zone poussiéreux.

Oustaz Oumar Sall placé en garde à vue par la Division spéciale de cybersécurité

0

Le maître coranique a été arrêté et placé en garde à vue par la Division spéciale de cybersécurité de la police nationale. D’après Seneweb, ceci fait suite à une plainte déposé sur la table du procureur pour diffamation et insulte commises par le biais d’un système informatique envers un groupe de personnes se distinguant par la religion et provocation par un moyen de diffusion publique, d’actes d’intolérances entre des personnes de sectes religieuses différentes.

Le Collectif international des talibés Cheikh l’accuse d’avoir dénigré des pratiques cultuelles de la confrérie des tidianes, dont la Wazifa et l’Hadaratoul Jummah”. Oumar Sall avait critiquait certaines pratiques de la confrérie tidiane.

Pour rappel , “Le Prophète n’a jamais enseigné de scander le nom d’Allah à la fin de la prière », a-t-il notamment affirmé, faisant ainsi allusion à la Wazifa et l’Hadaratoul Jummah propres à la confrérie tidiane.

Ces propos du prédicateur ont choqué les talibés Cheikh. Sous le coup de plaintes, Oustaz Oumar Sall a présenté ses excuses aux tidianes.

Le prêcheur a fait une nouvelle sortie pour apporter des précisions : “Je n’ai cité personne. J’ai juste dit que le Prophète Mohammad n’a enseigné à personne à scander le nom d’Allah après la prière.”

Juan Branco convoqué le 17 novembre par le Président de la Cour suprême du Sénégal

0

J’ai été convoqué par le Président de la Cour suprême du Sénégal à une audience, ce vendredi 17 novembre 2023, qui déterminera la possibilité pour M. Ousmane SONKO de se présenter à l’élection présidentielle de février 2024.

M. SONKO est le principal opposant du pouvoir en place et de la Françafrique.

Un homme qui veut libérer son peuple de ses chaines.

Fin du Franc CFA, des bases militaires et des accords de coopération, resouverainisation des ressources halieutiques et hydrocarbures, fin de l’immigration massive…

Il est l’homme politique le plus populaire et espéré du Sénégal.

Il vient d’être transféré en prison.

Il m’a demandé de l’assister et de me rendre à ses côtés.

Cette audience, à trois mois des élections, devant la plus haute juridiction du pays, lie un destin à celui d’un peuple entier.

Les autorités françaises, qui vient de sceller un pacte avec le Président sortant en lui offrant l’immunité, suite aux poursuites que nous avions entamées à son encontre pour crimes contre l’humanité, renvoie sans s’engager vers les autorités locales, tout en autorisant mon déplacement.

Ces mêmes autorités m’ont fait arrêter et emprisonner il y a trois mois dans d’anciennes écuries où 3000 prisonniers sont entassées.

Le Président de la plus puissante Cour de ce pays m’invite désormais à venir plaider. A travers cette convocation, la capacité pour le Président de la Cour suprême de s’assurer du respect de son autorité.

Sa légitimité. Cette audience vient après massacres, meurtres, tortures et privations arbitraires de liberté qui ont frappé des milliers de sénégalais.

Elle vient en un pays plongé dans la mort, où les universités demeurent encore aujourd’hui fermées, six mois après les faits, par peur d’une jeunesse qui menace à tout instant de se réveiller.

Jour après jour, des centaines de sénégalais prennent mer et pirogues pour nos terres, désespérés, faute de devenir et d’alternatives à construire, lassés par la violence que ce pouvoir ne cesse d’enfanter. M. SONKO a été comme moi enlevé, arrêté et placé en détention, pour s’y être opposé.

A Dakar et ailleurs, des mobilisations massives se préparent pour l’assurer du soutien du peuple, exiger que justice soit dite, que la souveraineté du peuple sénégalais soit respectée.

Des mobilisations massives pour dire: nous sommes, avons été, et demeurerons à vos côtés.

Que peut le droit dans tout ça ?

Tout. Ou rien.

Notre gouvernement voit avec anxiété la situation se développer.

Il voit s’effilocher le dernier lien avarié qui, sur le continent, lui aura permis, des siècles durant, de piller, esclavagiser, exproprier. Violer.

Il voit avec anxiété s’allier deux de ses plus féroces opposants qu’il pensait éliminés, en tremblant au point de chercher à m’interdire de sortie du territoire en un premier temps, avant de reculer.

Enfermer en ses terres l’un de ses ressortissants. Plutôt que de le laisser aller à la vie, plaider contre la mort qu’il a semée.

Ce gouvernement, notre gouvernement, qui accompagne d’une main la répression politique au Sénégal, félicitant et promouvant ses dirigeants, multiplie d’une autre les mesures visant à entraver ses oppositions et ceux qui sont chargés de les représenter.

Certains de ses membres nourrissent une haine et une fixation obsessionnelle, compréhensible, à mon égard, qui les ait exposés, multipliant entraves, calomnies, vexations et humiliations pour isoler et réduire, masquant mal les difficultés qu’il éprouve, au point où, encore récemment, l’un de ses plus puissants impétrants, ministre de son Etat, devait être dépêché sur la plus puissante chaine de télévision du pays pour tenter de m’ériger, dix longues minutes durant, en premier harceleur de la nation, instrumentalisant des épisodes adolescents pour se victimiser pitoyablement.

Les porteurs de fange tentent irrémédiablement de souiller quiconque a le malheur de les exposer dans leur crue nudité. Nous sommes pris en une lutte pour la vie.

Nos États de droit se sont effondrés consorts, ici et là-bas, de sorte que le piège se trouve tant ici que là-bas.

De sorte que des avocats ont à risquer vie et liberté pour exercer leur métier.

Là bas, au Sénégal, des corps tiennent droit, et s’apprêtent une nouvelle fois, une dernière fois, à rugir et se lever pour réclamer liberté et souveraineté.

Ces êtres me réclament à leurs côtés, pour porter leur voix en cette enceinte dont ils seront tenus écartés.

Je tiens à prévenir le gouvernement français qu’il sera tenu responsable de tout incident qui pourrait m’y arriver.

Derrière moi se trouvent bien des êtres prêts à poursuivre le chemin que nous avons entamé, et qui demanderont compte.

Et qui s’assureront qu’il n’y ait aucune impunité.

Au Sénégal, on me réclame pour exercer mon métier.

J’irai, pour défendre ceux qui se battent pour leur liberté, leur dignité, et leur souveraineté.

Differend entre FSF_ club académique : Me Senghor se prononce sur la situation

0

Depuis quelques temps un bras de fer entre Le Président de la Fédération sénégalaise de football Me Augustin SENGHOR vient enfin de se prononcer sur le différend qui oppose les clubs comme Dialbars, Génération Foot et la la LSFP.

En effet depuis un certain moment les deux clubs ont affiché un niet catégorique d’aller jouer ailleurs parce que leur stade a été suspendu par la FSF qui estime qu’ils ne respectent pas les normes de la FIFA. Cette décision prise par les deux Clubs n’est pas la meilleur d’autant plus que d’après Me Senghor, ils font parti d’une instance qui a des règles bien établies a constaté Challenge.

“Il faut qu’on fasse les nuances entre les différents textes. Nous sommes dans une organisation à laquelle tous les clubs s’astreignent aux respects des textes à partir du moment où ils ont accepté l’affiliation. Et l’affiliation est un contrat d’adhésion. C’est-à-dire y’a une organisation qui est là et nous avons défini des règles pour entrer. Parmi les dispositions il y’a un engagement qu’on a signé et qui dit quelque soit le club, je m’engage à respecter les statuts, les règlements et toutes les directives de la fédération sénégalaise de football. Il en est de même pour nous Fédération vis à vis de la CAF et de la FIFA », a-déclaré Me Augustin.

Quant à l’idée que la ligue professionnelle aurait bafoué les droits des deux clubs, M Senghor de rétorquer, « Aujourd’hui aucun droit des Clubs dont vous parlez n’est bafoué. Un règlement est sorti. Il a un porté impersonnel et général. En aucune manière, nous n’avons travaillé sous le prisme d’une organisation d’un club. Si les gens pensent que ce règlement ne concerne que Diambars et GF je dis non”.

Sénégal : La liste d’Aliou Cissé contre le Soudan du Sud et contre Togo

0

Aliou Cissé vient de dévoiler la liste des 25 joueurs convoqués pour les matchs de qualification à la Coupe du Monde 2026, face au Soudan du Sud et contre le Togo.

Le Sénégal entre en lice dans les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 ce 18 novembre avec la réception du Soudan du Sud. Trois jours après les Lions enchaineront avec un déplacement à Lomé et feront face au Togo.

Pour ces deux matchs, Aliou Cissé qui faisait face à la presse ce vendredi, a convoqué 25 joueurs.

Voici la liste du Sénégal

Le CNG a pris la décision

0

Modou Lô a brillamment défendu son titre de Roi des arènes en s’imposant face à Ama Baldé. Ce combat de lutte, très attendu, s’est déroulé dans un climat surprenant de sérénité, contredisant les attentes pessimistes de nombreux observateurs qui redoutaient des affrontements violents entre les supporters des deux camps.

Cet événement a été caractérisé par un esprit de sportivité remarquable, tant de la part des lutteurs que de leurs supporters. Bira Sène, président du Conseil National de Gestion (CNG) de la lutte, a souligné ce fait dans ses propos rapportés par le journal Record : « Nous avons vu que les deux lutteurs, du début à la fin, ont montré beaucoup de sportivité, beaucoup de fair-play ». Il a particulièrement mis en lumière le moment post-combat, où malgré la défaite, Ama Baldé et Modou Lô ont partagé un geste de fraternité. « C’est cela que l’on attend des champions de la trempe de Modou Lô et Ama Baldé », a ajouté Sène.

En reconnaissance de cette conduite exemplaire, le CNG a pris la décision de rendre hommage à ces deux figures emblématiques de la lutte sénégalaise. Une cérémonie d’honneur est prévue à l’Arène nationale, lundi à 16 heures, en présence des deux lutteurs. Cette initiative, selon Bira Sène, vise à promouvoir une culture de responsabilité et de respect dans le monde de la lutte, soulignant que le CNG est tout aussi enclin à récompenser les comportements positifs qu’à sanctionner les attitudes négatives.

Aïssata Tall Sall et les Procureurs : Les dessous d’une rencontre

Dès le début, la nouvelle Garde des Sceaux a su captiver l’assistance en lançant avec humour : « Je suis Aïssata Tall Sall, Garde des Sceaux Ministre de la Justice ». Un clin d’œil qui a instantanément établi une connexion avec l’auditoire déjà familier avec cette figure

La Garde des Sceaux a initié une rencontre ce Jeudi 09 Novembre 2023 avec les procureurs généraux et les procureurs de la République, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère pour la justice sénégalaise. L’objectif de cette réunion était de tisser des liens officiels avec ces acteurs clés, tout en exposant sa vision de « revitaliser le système judiciaire sénégalais ».

Dans son discours, la Garde des Sceaux a exprimé son souhait de voir la justice sénégalaise évoluer vers un pilier respecté de la société. Elle aspire à façonner les lois sénégalaises de manière à ce « qu’elles soient non seulement respectées, mais qu’elles incarnent également le respect dû aux citoyens sénégalais ».

La première étape de cette vision consiste à relever le défi de redéfinir la justice sénégalaise. ATS est convaincue que la législation doit être « un reflet fidèle des valeurs et des besoins de la société, tout en garantissant le respect des droits fondamentaux de chaque citoyen ». « Ce n’est pas seulement une question de légalité, mais aussi de justice sociale », indique-t-elle.

Lors de la rencontre avec les procureurs généraux et les procureurs de la République, Madame la Garde des Sceaux a souligné l’importance d’une collaboration « étroite entre le ministère de la Justice et les acteurs clés du système judiciaire ». Elle a mis l’accent sur la nécessité d’une coordination efficace pour assurer la mise en œuvre réussie des réformes législatives à venir.

Pour concrétiser cette vision, la Garde des Sceaux envisage une « révision en profondeur des lois existantes, les adaptant aux réalités actuelles du Sénégal ». Cette démarche vise à garantir une justice équitable, en accordant une attention particulière aux droits des citoyens sénégalais.

Les réactions des procureurs généraux et des procureurs de la République à cette proposition ambitieuse ont été variées, mais nombre d’entre eux reconnaissent la nécessité d’une réforme. Certains soulignent la complexité de la tâche, tandis que d’autres saluent l’engagement de la Garde des Sceaux envers la modernisation du système judiciaire.

Loin de se limiter à la légèreté, ATS a rapidement plongé dans les questions cruciales. Elle a exposé son souhait ardent de réviser les « longues détentions, soulignant l’importance de garantir un système judiciaire prompt et équitable ». La Garde des Sceaux a mis en avant l’impact positif que de telles réformes pourraient avoir sur la vie des individus concernés et sur l’image de la justice sénégalaise dans son ensemble.

Un moment fort de la réunion a été l’engagement massif des procureurs généraux et des procureurs de la République à soutenir la nouvelle Garde des Sceaux dans ses efforts de transformation. Tous ont assuré leur entière coopération pour assurer le bon fonctionnement de la justice sénégalaise. Cette unité de dessein entre les acteurs clés du système judiciaire présage un avenir prometteur pour les réformes à venir.

Aissata Tall Sall a également abordé les défis potentiels qui pourraient surgir au cours de ce processus de réforme. Elle a souligné la complexité inhérente à la révision des lois existantes tout en exprimant sa confiance dans la capacité collective à surmonter ces obstacles.

Coupure du signal de Walf : la Cour suprême tape sur le CNRA

En février dernier, le CNRA avait suspendu le signal de Walf TV. L’autorité de régulation reprochait à la chaîne du groupe fondé par Sidy Lamine Niass la couverture de manifestations qui avaient éclaté à Mbacké.

La première chambre administrative de la Cour suprême vient de désavouer le CNRA en annulant sa décision. «En procédant ainsi le juge pointe une violation de la loi pour rectifier le président du CNRA, Babacar Diagne, ordonnateur de la mesure», jubile Walf Quotidien, le journal dudit groupe.

Touba et le Vatican : autonomie religieuse et actions communautaires

0

Comme le veut la tradition avant la célébration de la Tabaski, le khalife des Baye Fall a offert, le 26 juin dernier, 1120 moutons au khalife général des mourides. Outre cet aspect symbolique, la rencontre a été marquée par la déclaration de Serigne Mountakha Mbacké, exprimant son souhait de voir Touba jouir de son « indépendance » au même titre que le Vatican. Il a également souligné que, de toute façon, « la ville se dirige dans cette direction ». Dans cet article, Seneweb propose quelques similitudes entre ces deux lieux saints.

L’autonomie religieuse à Touba se manifeste de plusieurs manières. Tout d’abord, les mourides ont le pouvoir de développer et de suivre leurs propres codes de conduite. Ces codes vont au-delà des obligations islamiques de base et englobent des aspects spécifiques tels que la solidarité communautaire, l’entraide et le travail acharné. La notion de “travail” est centrale pour les mourides, et leur engagement envers celui-ci est considéré comme un acte de dévotion envers Dieu. Ainsi, l’autonomie religieuse leur permet de créer un équilibre unique entre leur foi et leur engagement dans des activités économiques.

En outre, cette autonomie se reflète dans la manière dont la confrérie mouride gère ses propres affaires internes. La ville de Touba est un exemple remarquable d’autogestion religieuse. Les mourides ont construit leur propre infrastructure, y compris des mosquées, des écoles, des hôpitaux et des centres de formation professionnelle. On peut notamment citer la Grande mosquée de Massalikoul Djinane, l’Université Cheikh Ahmadou Bamba et prochainement, le complexe international Khadim Rassoul de France (CIKR). Cette infrastructure indépendante renforce le sentiment de communauté parmi les mourides et permet de mettre en pratique leurs valeurs et leurs croyances de manière concrète.

Le « Ndigel » du Khalife et la parole du Pape

Tout comme le Pape exerce une influence morale et spirituelle sur les fidèles catholiques à travers le monde, le Khalife général des mourides occupe une place similaire au sein de la communauté mouride. Les ordres et recommandations émanant de ces figures religieuses guident et influencent les croyants, déterminant souvent leurs actions, leurs décisions et leurs interactions avec les autres membres de la communauté.

L’une des caractéristiques marquantes de la confrérie mouride est la notion de “Ndigel”. Ce terme évoque un ordre ou une recommandation émise par le Khalife général des mourides. C’est un appel à l’action, une directive qui engage les fidèles à agir d’une certaine manière. Cette similitude avec les messages et les enseignements du Pape est indéniable. Lorsque le Pape parle, que ce soit lors de ses discours, homélies ou encycliques, les catholiques à travers le monde écoutent attentivement, interprètent ses paroles et les intègrent dans leur vie quotidienne.

Toutefois, il est important de noter que ces deux figures religieuses opèrent dans des contextes différents et avec des cultures et des traditions distinctes. Les enseignements et les appels du Pape sont profondément enracinés dans la doctrine catholique et influencent les pratiques spirituelles et éthiques des fidèles. De même, les “Ndigeuls” du Khalife général des mourides s’inscrivent dans le cadre de la confrérie mouride, guidant les actions des fidèles conformément aux valeurs de la confrérie et de l’islam.

Préservation des traditions et des valeurs religieuses

Le maintien des traditions occupe une place prépondérante à Touba et au Vatican. À Touba, chaque année, des millions de fidèles convergent vers la Grande Mosquée pour célébrer le Magal, une manifestation religieuse majeure qui commémore le départ en exil du fondateur de la confrérie. Cette célébration est l’occasion de renforcer les liens spirituels et culturels entre les adeptes mourides. De manière parallèle, le Vatican accueille des pèlerins et des fidèles du monde entier pour des événements tels que les messes papales et les cérémonies liturgiques. Ces rassemblements offrent une plateforme pour la transmission de la foi et des valeurs chrétiennes, tout en maintenant une continuité avec les pratiques anciennes.