Le leader de Pastef, renoue avec les sorties sur ses plateformes comme à l’accoutumé. Apres sa premiere declaration le 27 Juin dernier, Ousmane Sonko revient à la charge et dénonce un complot pour l’écarter de la cours vers le palais prévue en février 2024. Le Maire de Ziguinchor qui été en directe via les réseaux sociaux dans la soirée d’hier à lancé un appelé à la résistance, si souligne t-il, après son arrestation dans le cadre de l’exécution de la décision du jugement rendu le 1er juin dernier par la Chambre criminelle de Dakar, il n’est pas libéré aussitôt en vue d’un nouveau jugement de l’affaire qui l’oppose à Adji Sarr.
Sonko, signale que dès lors que la personne condamnée par contumace est retrouvée par les autorités judiciaires, le premier jugement devient nul en attendant l’ouverture d’un nouveau procès. Il a également demandé aux Sénégalais de manifester sur toute l’étendue du territoire pour réclamer « la libération des 650 détenus politiques injustement arrêtés ». Selon lui, le peuple ne doit pas attendre qu’on l’emprisonne ou qu’on l’écarte de la Présidentielle pour manifester.
« Cette fois-ci, il faudra en terminer une bonne fois pour toute avec Macky Sall qui n’a plus les moyens de sa répression. La communauté internationale l’a à l’œil et je peux vous assurer que vous ne verrez plus de milice pendant une manifestation. La plainte à la CPI et le traitement médiatique fait des événements de juin par la presse internationale leur a fait très mal », a confié Ousmane Sonko.
Le leader de Pastef n’a pas manqué de pointer du doigt des pays comme la Turquie en les appelant à « arrêter de fournir du matériel de répression au régime de Macky Sall ».