vendredi, janvier 31, 2025
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Affaire Omart City : le président de l’ONG et ses 2 complices envoyés en prison

Les choses se corsent pour Abdoulaye Mamadou Guissé, président de l’Omart City, et deux de ses complices : «son directeur de cabinet, Pape Boubacar Camara et Khady Faye, faussement présentée comme la tante du Président Bassirou Diomaye Faye.»

Libération, qui donne l’information, précise que les trois ont été inculpés et placés sous mandat de dépôt par le juge du deuxième cabinet du tribunal de Pikine-Guédiawaye. Ils sont visés pour association de malfaiteurs, escroquerie et blanchiment, indique la même source. Qui rappelle que Guissé est également sous le coup d’un mandat d’arrêt émis contre lui par le doyen des juges du tribunal de Diourbel pour les mêmes faits.

Guissé a été interpellé samedi par les gendarmes de la brigade de la Zone franche dans le cadre de l’enquête en cours sur le projet de logements sociaux mené par Omart City Sénégal.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

Suite Opération coup de filet à Mbour : Près de 452,5 kg de drogue saisis et un autre trafiquant sous les verrous…Des arrestations en cours

Dans le cadre de la lutte contre le trafic de drogue, une intervention audacieuse menée par l’unité de lutte antidrogue de Mbour, en collaboration avec la Brigade régionale des stupéfiants de Thiès, a permis de mettre un coup d’arrêt à un important réseau criminel. Cette opération, qui s’est déroulée dans la nuit du 2 décembre 2024, a conduit à l’interpellation de deux individus, N. Gningue et N. Ngom, et à la saisie d’une quantité impressionnante de chanvre indien.

Saisie record de 452,5 kg de chanvre indien

Aux alentours de 00h30, les autorités ont intercepté N. Gningue alors qu’il transportait 220 kg de drogue soigneusement dissimulés à bord de deux charrettes. Quelques heures plus tard, vers 08h00, une autre intervention a permis d’appréhender N. Ngom, en possession de plusieurs colis de chanvre indien, portant la saisie totale à 232,5 kg. Ces deux arrestations marquent un tournant majeur dans la lutte contre le trafic de stupéfiants dans la région.

Un réseau bien organisé démantelé

Ces interventions sont le fruit d’investigations minutieuses menées par les autorités locales. Les éléments recueillis lors des arrestations ont permis de remonter une partie de la chaîne logistique de ce réseau criminel bien organisé. Selon les premiers éléments de l’enquête, les convoyeurs utilisaient des moyens de transport rudimentaires, tels que des charrettes, pour contourner les contrôles policiers.

Des enquêtes en cours pour démanteler toute la filière

Les deux suspects sont actuellement en garde à vue, et les enquêtes se poursuivent pour identifier et interpeller d’autres membres du réseau. Les autorités locales, déterminées à éradiquer ce fléau, redoublent d’efforts pour démanteler entièrement cette filière et couper les voies d’approvisionnement de drogue qui gangrènent la région.

Cette opération est un signal fort envoyé par les forces de l’ordre aux trafiquants de drogue : la tolérance zéro est de mise, et chaque maillon de cette chaîne criminelle sera traqué jusqu’à son démantèlement complet.

Diamaguène Sicap Mbao : le surprenant geste de la femme qui s’est débarrassée de son bébé de deux mois à la police

Ndèye Awa Niang est un cas à part. Les chroniqueurs judiciaires pourront en témoigner. Cette dame de 36 ans a décidé d’abandonner son bébé de deux mois dans des conditions peu habituelles.

Mise enceinte par un commerçant nommé I. Gning, qui aurait refusé la paternité, elle n’a ni interrompu volontairement sa grossesse ni tué ou abandonné son nouveau-né dans la nature, comme ça arrive souvent en pareilles situations. Elle a choisi la voie légale pour se décharger de ses responsabilités de mère.

Les Échos rapporte que Ndèye Awa Niang s’est présentée à la police de Diamaguène Sicap Mbao pour déclarer : «Je voudrais renoncer à la garde de ma fille de deux mois au profit de la nommée Ya Awa Dia. Je suis incapable de subvenir aux besoins de cet enfant dont le père a refusé la paternité. Depuis que j’ai annoncé la grossesse à mon amant, il a bloqué mes appels. Il a ainsi coupé tout contact avec moi.»

Le dossier enrôlé, l’enfant a été confié à l’Action éducative en milieu ouvert (Aemo), informe le journal. Qui ajoute que le procureur de Pikine/Guédiawaye a été saisi de cette affaire d’«abandon d’enfant». Le chef du parquet doit indiquer la voie à suivre.

Avant de se tourner vers la police, souffle Les Échos, Ndèye Awa Niang avait frappé à la porte de la Maison Rose, qui accueille des enfants abandonné par leurs parents. «Mais le personnel trouvé sur les lieux lui a proposé de garder l’enfant tout», rapporte la même source.

Elle n’a suivi ce conseil. «C’est ainsi qu’elle en a parlé à une amie qui l’a mise en rapport avec Ya Awa Dia, qui souhaiterait voir la garde provisoire», renseigne le quotidien d’information.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

Pétrole sénégalais : Les chiffres officiels sur les ventes du mois de novembre

Au niveau du champ Sangomar, la production et la commercialisation des barils de pétrole continue. Le ministère a dévoilé le volume qui a été vendu pour le mois de novembre.

Le ministère du Pétrole et des énergies a fait son point habituel, sur les ventes de cargaisons de pétrole brut  sénégalais. La production totale du site de Sangomar, pour le mois de novembre 2024, s’est placée à 2,94 millions de barils de pétrole brut, informe-t-il.

Le ministère du Pétrole renseigne qu’au cours du mois, «trois (3) cargaisons d’un volume total équivalent à 2,89 millions de barils ont été enlevées et commercialisées sur le marché international.»

La bonne nouvelle, c’est qu’en 2024, la production annuelle devrait s’établir autour de 15 à 16 millions de barils de pétrole brut. «Ce nouvel objectif est au-dessus de la cible initiale de 11,7 millions de barils», indique le ministère du Pétrole.

Et jusqu’au 1er Décembre de cette année, ce sont 14 millions de barils de pétrole qui ont été produits au niveau du champ pétrolier de Sangomar, selon les chiffres publiés ce mercredi par le ministère du Pétrole.

Et à la fin du mois de novembre, l’ensemble des puits de production a pu être démarré, informe-t-il. L’objectif étant d’extraire 100 000 barils de pétrole par jour.

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum

Assemblée nationale : Les députés convoqués pour une plénière vendredi

Les députés de la quinzième législature vont encore retourner à l’hémicycle. En effet, ils sont convoqués vendredi afin de parachever la mise en place des organes parlementaires. La plénière, qui commencera à 10 heures, sera consacrée à la « ratification des listes des membres des Commissions permanentes», lit-on dans la note qui leur est adressée.

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum

Situation de Mbappé au Real : Drogba dénonce de l’ingratitude

Dans un entretien accordé à RFI, Didier Drogba a apporté son soutien à Kylian Mbappé en difficulté avec le Real Madrid.

“Déjà, je suis quand même un peu déçu de voir cette vague d’ingratitude envers lui. C’est tout de même quelqu’un qui a beaucoup fait pour la France. Il a contribué à cette deuxième étoile. Il y a deux ans, il était à deux doigts de donner une troisième étoile à la France. Et aujourd’hui, il est un peu chahuté. C’est la loi de notre sport. C’est un sport très ingrat, le football, on le sait tous.”

“Cette période délicate fait partie de la carrière d’un joueur”

“Mais ce sont des cycles. Il traverse une période difficile, son adaptation n’est pas des plus faciles, mais je préfère avoir une adaptation difficile à Madrid que de me retrouver dans une situation où tout est plus facile. Je pense qu’il va beaucoup apprendre de cette expérience. Il va mûrir, il sera encore plus mature et ça va lui profiter et profiter à l’équipe de France. Cette période délicate fait partie de la carrière d’un joueur, c’est comme les blessures, sauf que celles-là ne sont pas physiques, mais elles peuvent vous aider à devenir un autre joueur, même encore plus fort, donc c’est une transition.”

“Un peu comme un Tiger Woods (golfeur) qui avait du mal pendant un moment…”

“Je vois ça un peu comme un Tiger Woods (golfeur) qui avait du mal pendant un moment à retrouver son jeu et une fois qu’il l’a retrouvé, il est redevenu le Tiger Woods que tout le monde aime. Kylian passe par une période pas simple, il a voulu être là-bas, il est prêt pour le challenge. Je connais un peu le personnage, et oui, en tant qu’être humain, il va douter, c’est normal. Mais c’est quelqu’un qui a des certitudes aussi. Je suis très optimiste pour lui.”

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum

GOUVERNEMENT-PRESSE – Sonko entre crête et cuvette (Par Babacar Justin Ndiaye)

Les tensions persistantes entre les médias hautement précieux et les dirigeants très légitimes du Sénégal sont regrettables.

Voilà deux compagnons de route marchant séparément mais, chacun armé de sa truelle, se donnant la double vocation de cimenter la démocratie, d’une part, et de créer la prospérité, d’autre part !

Sous cet angle, la posture du gouvernement, les faits et les gestes du puissant Premier ministre et non moins plébiscité homme politique Ousmane Sonko demeurent essentiels.

Un jour, on a demandé au Roi Hassan II (Monarque absolu) ce qu’il pense de l’organisation Amnesty international. Réponse du Souverain : « Amnesty international m’emmerde, mais elle pourrait être, un jour, utile aux petits Princes ».

Réponse avisée d’un visionnaire ! Car, en effet, si le coup d’État des aviateurs de 1972 avait réussi, l’artisan du putsch aérien, le Général Mohamed Oufkir, aurait réservé un sort incertain (c’est un euphémisme) au Roi actuel Mohamed VI alors âgé de moins de dix ans.

Moralité : l’opacité du futur et les vicissitudes de la vie politique suggèrent voire recommandent la modération tous azimuts. La modération n’étant nullement la faiblesse. Bien au contraire ! Elle est la synthèse de la responsabilité assumée et de la souplesse opportune.

Indiscutablement, la presse (à l’instar de quelques segments tenaces de la Société civile) empêche de gouverner en rond sous tous les cieux. Aussi bien dans la cruelle dictature de Birmanie que dans l’enchanteresse démocratie de l’Ile Maurice où un Premier ministre aguerri  a trébuché suite à la forte médiatisation d’un scandale.

En effet, le propre de l’homme politique et la caractéristique de l’homme d’État sont la peau cuirassée et le mental d’acier. Toujours dopé jamais démoli par les critiques et les persiflages.

Des qualités requises, singulièrement chez un Premier ministre (fusible devant l’Éternel) dont le pain quotidien est l’orage social  en cours ou la tempête politique en perspective.

Tout réside donc dans l’art  et la manière de faire face à la pugnacité normale et aux harcèlements habituels des médias. La panoplie des recettes est assez fournie à la lumière des expériences historiques et instructives.

C’est une question d’ingéniosité et de finesse gouvernementales et non de débarquement de mammifères dans un magasin de porcelaines.

En décembre 1973, le très travailleur Ministre de l’Intérieur français, Raymond Marcellin, ulcéré par l’avalanche d’informations secrètes régulièrement publiées par «Le Canard enchainé », décide de poser des micros dans les murs et sous les tapis des locaux de l’hebdomadaire satirique.

Cette opération (ratée) menée par des policiers de la DST en tenues de plombiers donne une idée de la large gamme des moyens disponibles pour un État désireux de tacler, d’endiguer, d’infiltrer,  de noyauter et même d’espionner la presse. Sans la neutraliser par des armes létales d’origines fiscale et légale.

Bien entendu, le droit à l’existence ne signifie pas que les entreprises de presse doivent faire litière de la Loi qui induit la conformité. Une loi n’est jamais une contrainte arbitraire mais une contrainte…légale. Donc digne respect par tous. D’où son application sans restrictions troublantes ni géométrie variable.

Cependant, la gouvernance couvre et dépasse le champ étroit des lois. La trajectoire  enviable, les acquis réels, l’image scintillante et le rayonnement croissant du Sénégal sont à porter au pinacle.

Dans cette optique-là, qui mieux que le leader Ousmane Sonko, politiquement debout sur le toit du Sénégal, est conforté et outillé pour le faire ?  Personne.

L’homme qui a élu un Président de la république au premier tour puis meublé l’Assemblée nationale par une majorité écrasante et homogène doit camper sur la crête de la gloire.

Ousmane Sonko (bien conseillé) ne doit pas descendre dans la cuvette boueuse où se déroulent des bagarres picrocholines. Or son mutisme et son flegme, lui la dynamo de l’Exécutif, suggèrent sa bénédiction tacite dans le choc Ministère-Presse.

Le Premier ministre Ousmane Sonko doit siffler la fin de la récréation. En le faisant, il évacue l’idée (fausse ou vraie) que les nouveaux dirigeants sont plus enclins à assassiner qu’à assainir la presse. L’immobilisme prolongé favorise évidemment les procès d’intention ou les procès en sorcellerie.

Faut-il rappeler encore que, du point de la genèse institutionnelle (contrôle démocratique du pays), le Projet pastéfien domine la Révolution de Thomas Sankara et surclasse la Révolution de Fidel Castro. Les « Ruptures » sankarienne et cubaine ayant été accouchées aux forceps par l’habituelle sage-femme de l’Histoire : la violence.

Au Sénégal, ce sont les urnes qui ont supplanté les armes ; ce sont les longues processions des citoyens-électeurs qui ont remplacé les vagues d’assaut des insurgés pour le triomphe du Projet.

La rue a certes bougé mais elle n’a pas vaincu l’armada du Général Moussa Fall. Ce qui a été fort heureux au demeurant.  Sinon Diomaye Faye aurait été le chef d’un État évaporé.

En réalité, les leviers vecteurs de rapprochement bienfaisant et fécond entre l’État et les médias sont trouvables dans l’héritage légué et le génie trempé. Ils ont pour noms : volonté, intelligence et dialogue. Dans le respect de la Loi.

La discussion n’est pas synonyme de capitulation. Dans le dialogue, personne n’ira à Canossa. Le Ministre de tutelle et journalistes iront tous vers le Sénégal, terre de concertation légendaire et, surtout, de quiétude propice pour la gouvernance performante et favorable à l’essor de la presse.

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum

Farba Ngom : « J’applaudirai sans danse, mais je prierai pour Sonko et Diomaye »

L’honorable député Farba Ngom, maire d’Agnam, invité mercredi à l’émission Faram Facce sur TFM, n’a eu que des paroles élogieuses à l’égard des nouvelles autorités : le président Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko, à qui il adresse ses vœux de plein succès à la tête du Sénégal. Un succès, selon lui, dont tous les Sénégalais, y compris les responsables de l’APR comme lui, pourront pleinement profiter.

 

Le député Farba Ngom souhaite que le Sénégal amorce rapidement un développement soutenu par de nombreux projets ambitieux. Il affirme avec ferveur prier tous les saints pour que cette vision devienne une réalité tangible pour le pays.

« Dieu est témoin, je ne souhaite pas que les nouvelles autorités échouent. Et le jour où elles développeront le Sénégal, j’applaudirai de tout cœur, même si je ne danserai pas. Leurs réalisations représenteront aussi l’épanouissement des populations sénégalaises, qui en tireront le plus grand bénéfice », a-t-il déclaré.

Pour étayer ses propos, Farba Ngom souligne : « Les Sénégalais continuent de profiter des réalisations de l’ancien président Macky Sall. Il est donc du devoir de chaque citoyen de prier pour la réussite de Diomaye Faye et d’Ousmane Sonko. Ne pas partager leur vision politique ne justifie en aucun cas de leur souhaiter l’échec. Ce sentiment ne m’habite pas et ne m’habiterait jamais. »

source : SENEGO

Affaire Keur Yeurmandé : une nouvelle chance pour Ndella Madior Diouf

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Les avocats de Ndella Madior Diouf ont introduit un appel pour contester l’ordonnance de refus de mise en liberté provisoire opposée à leur cliente. Selon L’Observateur, qui donne l’information, la requête sera examinée devant la Chambre d’accusation le 10 décembre. Une nouvelle chance pour la mise en cause de humer l’air de la liberté en attendant son procès.

Ndella Madior Diouf est arrêtée et placée sous mandat de dépôt en décembre 2023 dans le cadre de l’affaire Keur Yeurmandé, sa pouponnière, établie à Sacré Cœur sans autorisation administrative, où des enfants auraient subi des mauvais traitements. Certains ayant perdu la vie et été «discrètement» enterrés.

Les accusations qui pèsent sur la mise en cause sont nombreuses et graves : traite de personnes, exercice illégal de la médecine, privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort, mise en danger de la vie d’autrui, non-assistance  personne en danger et obtention illégale de certificats d’inhumation. Toutes ses demandes de liberté provisoire et de placement sous bracelet électronique ont été jusque-là rejetées. Ndella Madior Diouf joue une nouvelle carte le 10 décembre.

source: seneweb

Médias-Affaire Prodac: J’ai été blanchie par la DIC”, Maimouna Ndour Faye

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Face à la presse ce mercredi matin, la patronne de la  7tv Maimouna Ndour Faye, s’est exprimé sur l’affaire dite Prodac ( Programme des Domaines Agricoles Communautaires).”J’ai entendu des confrères dire que la 7tv a été ouverte avec l’argent du prodac”, a-t-elle déclaré.

Elle a également expliqué qu’à l’époque où Mame Mbaye Niang était à la tête du ministère de la jeunesse (le prodac est sous la tutelle de ce département), on lui avait demandé d’organiser des événements. ” On m’a demandé d’organiser un séminaire d’imprégnation des médias sur le Prodac. Tous les médias ont été invités, et on nous a versé 63 millions de francs CFA. J’ai payé 9 millions à la TFM, 2 millions à la Sen TV, 2,9 millions à Walfadjri et d’autres montants à plusieurs autres médias”, a-t-elle détaillé indiquant qu’une enquête menée par la Division des enquêtes criminelles (Dic) l’a totalement disculpée.

“Une enquête a été menée par la Dic. On m’a demandé de fournir des justifications concernant cette affaire. J’ai présenté tous les documents nécessaires: factures, listes des journalistes présents, ect. J’ai été blanchie”, affirme-t-elle en ajoutant ” J’avais tellement hâte que cette affaire soit éclaircie, et c’est désormais choisie faite. Un pré-rapport a été établi. Les enquêteurs ont fait leur travail et étaient même étonnés. Ils se sont demandés pourquoi j’étais citée dans cette affaire, car je ne fais même pas partie du dossier”.

Source: SENEWEB