vendredi, janvier 31, 2025
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Sénégal-Sport-Nécrologie: Décès d’Ambroise Sarr: l’hommage du chef de l’Etat à une “figure emblématique de notre sport nationl

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Nécrologie : Ambroise Sarr s’est éteint à l’âge de 73 ans  - wiwsport

Ce 4 décembre, le chef de l’Etat a rendu hommage à l’ancien champion de lutte Ambroise Sarr, décédé ce mercredi. “C’est avec une grande tristesse que j’ai appris le décès d’Ambroise Sarr, ancien sélectionneur de l’équipe nationale de lutte, figure emblématique de notre sport national. Son engagement et sa contribution resteront gravés dans nos mémoires. Mes pensées vont à sa famille, à ses proches et au monde de la lutte. Paix à son âme”, a écrit le président Bssirou Diomaye Faye sur son compte X.

Ambroise Sarr, ancien entraineur de l’équipe nationale du Sénégal de lutte, est décédé à l’âge de 73 ans, des suite d’une courte maladie. Originaire du village de Palmarin dans le département de Fatick, il a participé durant sa carrière de lutteur à plusieurs compétions internationales dont les jeux olympiques.

Source: APS

Visite officielle du Président de la République Bassirou Diomaye faye aux Emirates Arabes Unis

Le Président de la République, SEM Bassirou Diomaye Faye, a quitté Dakar ce matin pour se rendre aux Émirats arabes unis, où il effectuera une visite officielle du 4 au 6 décembre 2024, à l’invitation de Son Altesse Sheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, Président des Émirats.

À l’issue de cette visite, le Chef de l’État se rendra au Forum de Doha, au Qatar, du 6 au 8 décembre 2024, à l’invitation de Son Altesse Sheikh Tamim bin Hamad Al Thani, Émir du Qatar.

Ce forum est un événement international consacré aux grands enjeux globaux tels que la gouvernance, la sécurité et le développement durable.

 

Fatou Kiné Loum

Drame de N’Zérékoré en Guinée: un collectif évoque un bilan bien plus élevé que celui du gouvernement

Dimanche 1er décembre 2024, la capitale de la région forestière a été le théâtre d’une bousculade meurtrière au stade du 3 avril, durant la finale d’un tournoi de foot organisé en soutien au général Doumbouya. Le gouvernement maintient son bilan toujours provisoire de 56 morts. Mais des ONG locales en décomptent plus du double.

Pour le Collectif régional des ONG de défense des droits humains, l’Alliance des Jeunes leaders de la Forêt, mouvement pro-Doumbouya local, et la junte du CNRD qui l’a appuyée, sont les deux principales responsables du drame de N’Zérékoré. Les ONG insistent sur le nombre de morts qui, selon elles, s’élève à 135, très loin donc du bilan du gouvernement. Un décompte basé sur les témoignages des supporters et des familles entre autres.

« Les informations que nous avons recueillies auprès de l’hôpital de N’Zérékoré, auprès des 22 chefs de quartiers et s’agissant des cas d’enterrement qui se sont déroulés la journée du 2 décembre, nous avons estimé aujourd’hui 135 personnes, majoritairement de moins de 18 ans, qui ont trouvé la mort le 1er décembre 2024 », pointe Emmanuel Fassou Sagno qui préside le collectif.

L’enquête des ONG indique aussi que 50 personnes au moins sont portées disparues. L’hôpital étant complètement saturé le jour du drame, des dépouilles ont été transportées au camp militaire de la ville. Mais depuis, plus de nouvelles de la part des autorités militaires de N’Zérékoré : « Nous avons approché certaines autorités militaires. Nous avons eu peu d’informations. Mais ils n’ont pas reconnu dans la plupart des cas leur responsabilité quant à l’usage des gaz lacrymogènes. » Le collectif demande l’interpellation des organisateurs du tournoi et encourage les familles à porter plainte.

Le ministre de la Justice, Yaya Kairaba Kaba, menace de poursuite judiciaire quiconque donnerait des chiffres fantaisistes susceptibles de troubler l’ordre public : « Dans ce moment particulièrement éprouvant et en attendant l’aboutissement des enquêtes en cours, j’en appelle au calme et à la sérénité de tous. À cet égard, j’invite mes concitoyens à faire preuve de responsabilité et de retenue face à la douleur collective. Je rappelle que la diffusion sur les réseaux sociaux d’informations non vérifiées ou malveillantes susceptibles de troubler l’ordre public est inadmissible et expose leurs auteurs à des sanctions. En tout état de cause, je mets en garde : quiconque se livrera à de tels agissements sera interpellé et poursuivi conformément à la loi. »

 

Source: Rfi

Fatou Kiné Loum

Affaire des 200 millions F Cfa “volés” : les neuf policiers accusés par les Maliens placés sous mandat de dépôts

Les neuf (9) policiers de la Brigade de recherches du commissariat de Zac Mbao, arrêtés pour « vol » de 200 millions f Cfa appartenant à des Maliens, ont été placés sous mandat de dépôt hier mardi, après leur face à face avec le procureur de la République. Ils ont ainsi passé leur premier nuit en prison, selon Les Echos.

Pourtant, devant les enquêteurs, ils ont nié les faits qui leurs sont reprochés.  Mais durant l’enquête, la Division des investigations criminelles (Dic) a mis la main sur deux vidéos, l’une venant des caméras des maisons situées le long de la route où le véhicule des Maliens a été stoppé. L’autre vidéo a été filmée par la caméra infrarouge placée dans le coffre-fort contenant les sacs d’argent.

Pour rappel, douze (12) personnes sont visées dans cette affaire. Il s’agit de l’indicateur de police, D. Cissé, les neufs policiers et deux ressortissants maliens, A. Diguiba et V. Obondimbe, accusés de blanchiment d’argent.

A noter que les 450 millions de F cfa saisis entre les mains des Maliens et les 60 millions F fa récupérés au cours d’une perquisition chez l’un des mis en cause sont mis sous scellés au Parquet.

Fatou Kiné Loum

Voici la liste des médias dits reconnus par l’État (provisoirement)

Le ministre de la Communication, Alioune Sall, a rendu publique ce mardi une liste des 112 médias officiellement reconnus par l’État du Sénégal. Cette reconnaissance est accordée aux organes de presse ayant respecté le Code de la presse en vigueur. Sur les 535 médias recensés par le gouvernement, la liste inclut 54 presses en ligne, 10 chaînes de télévision, 14 journaux, 14 stations de radio, 11 radios communautaires et 6 Web TV. Selon le ministre, cette liste est provisoire. Les médias non reconnus disposent d’un délai de 72 heures pour se mettre en conformité avec la législation. Passé ce délai, ceux qui ne se seront pas régularisés perdront leur accès aux aides publiques et à l’attribution de marchés publics.

 

Sénégal : voici la liste des médias dits reconnus par l'État (provisoirement)

Sénégal : voici la liste des médias dits reconnus par l'État (provisoirement)

Sénégal : voici la liste des médias dits reconnus par l'État (provisoirement)

Sénégal : voici la liste des médias dits reconnus par l'État (provisoirement)

Fatou Kiné Loum

Vol de bétail au Sénégal : la perte annuelle estimée à plus de 2 milliards de F Cfa

Le phénomène prend de l’ampleur malgré le durcissement de la répression. «Rien qu’au Sénégal, la perte annuelle est estimée à plus de deux milliards de F Cfa, par an, contribuant à saper ce secteur qui [participe] à 4% du PIB national du secteur primaire», estime la responsable de la cellule de lutte contre le vol de bétail au ministère de l’Agriculture et de l’Élevage.

Dr Astou Fall de poursuivre :  «L’élevage a toujours été une activité centrale en Afrique de l’Ouest depuis des siècles et les communautés locales dépendent du bétail non seulement pour leur subsistance, mais aussi en usent comme symbole de richesse et de statut social. Le bétail joue un rôle clé dans l’économie régionale.»

«Les éleveurs craignent pour leur sécurité»

Reprise par Enquête, elle regrette également que «le vol de bétail dans la sous-région [soit] passé d’une pratique relativement non violente impliquant le vol d’un petit nombre de bovins à un crime organisé caractérisé par des niveaux élevés de violence mortelle par des groupes armés et fonctionnant comme un élément central de l’économie de guerre dans plusieurs pays» dont le Mali et le Nigéria, deux des plus grands producteurs de bétail d’Afrique de l’Ouest et épicentres du vol de bétail.

Dr Fall participait à l’atelier sur le thème de l’Élevage face à la problématique du vol de bétail en Afrique de l’Ouest, organisé à Saint-Louis.  «Dans le contexte ouest-africain marqué par la mobilité et la transhumance liées à l’élevage pastoral extensif dominant à la recherche de parcours et d’eau, exacerbé par le changement climatique et l’insécurité au Sahel, une solution adaptée à l’Afrique de l’Ouest est nécessaire. […]», a-t-elle plaidé.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

West african energy : Samuel Sarr ouvre un nouveau front

Samuel Sarr compte saisir le Tribunal de commerce. L’ancien ministre de l’Énergie entend ainsi contester la nomination de Abdou Karim Diop comme directeur général par intérim de West african energy (Wae).

Ce dernier a été désigné ce weekend, d’après plusieurs médias, pour remplacer le plaignant après son placement sous mandat de dépôt pour abus de biens sociaux portant sur 8 milliards de francs Cfa au préjudice, d’après l’accusation, de Wae.

«Selon Samuel Sarr, Moustapha Ndiaye n’a pas la compétence de convoquer le Conseil d’administration (Ca) [de Wae]. Car, seul un administrateur comme la Senelec peut convoquer le Ca et non un simple actionnaire», rapporte L’Observateur, qui donne l’information dans son édition de ce mercredi.

Samuel Sarr conteste à Moustapha Ndiaye, qui a déclenché les poursuites contre lui et à qui il semble imputer la nomination de son successeur, la casquette de Président du Conseil d’administration (Pca) de Wae. Il a d’ailleurs porté plainte contre lui pour usurpation de fonction.

L’ancien ministre affirme que ce dernier a été remplacé au poste de Pca du projet, depuis février dernier, par le directeur général de la Senelec, Papa Mademba Bitèye, l’ancien, puis Pape Toby Gaye, son successeur.

C’est la deuxième fois que Moustapha Ndiaye désigne Abdou Karim Diop DG par intérim de Wae. La première fois, c’était en juin 2024; la décision a été contestée et l’affaire est pendante au niveau du Tribunal de commerce, renseigne dans L’Observateur Me Baboucar Cissé, un des avocats de Samuel Sarr. «Il [Moustapha Ndiaye] revient avec le même procédé […] que nous allons aussi attaquer», annonce la robe noire.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

Le Communiqué du Conseil des ministres de ce mardi 3 décembre 2024

Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mardi 03 décembre 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République. A l’entame de sa communication, le Président de la République a adressé ses chaleureuses félicitations à l’ensemble des députés de la 15ème législature installée le lundi 02 décembre 2024.

Il a félicité particulièrement le nouveau Président de l’Assemblée nationale, Monsieur Malick NDIAYE, Ministre sortant des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, et les autres membres du Bureau de l’institution parlementaire. Il a demandé au Premier Ministre et aux membres du Gouvernement de travailler en étroite relation avec l’Assemblée nationale pour renforcer le rayonnement de la démocratie sénégalaise, mais également le dialogue entre les institutions, indispensable à la mise en œuvre optimale des politiques publiques.

A la suite du réaménagement du Gouvernement, le Chef de l’Etat a félicité le Premier Ministre, Monsieur Ousmane SONKO, qui continue sa mission de Chef du Gouvernement, Monsieur Abass FALL, nouveau Ministre du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions et Monsieur Yankhoba DIEME, nouveau Ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, et tous les Ministres et Secrétaires d’Etat confirmés à leurs postes. L’Etat engage une phase cruciale de la gouvernance du Sénégal.

Cette période de redressement et de reconstruction nationale, nécessite écoute, proximité, pragmatisme, efficacité, efficience, transparence et exemplarité dans la conduite de l’action publique, à la lumière des objectifs temporels de l’agenda national de Transformation à l’horizon 2050. Le Président de la République a, dès lors, exhorté le Gouvernement à se concentrer sur l’essentiel, à rester un Gouvernement de solutions, de consensus et de résultats dans la prise en charge des besoins et aspirations des populations, notamment des jeunes, cibles prioritaires des programmes et projets publics.

 

Le Chef de l’Etat est revenu sur les cérémonies marquant la commémoration du 80ème anniversaire du « Massacre de Thiaroye », qui ont connu un succès national et international exceptionnel. Il a adressé ses remerciements aux Chefs d’Etat et aux délégations étrangères ayant participé aux manifestations. Il a félicité le Premier Ministre et son Gouvernement, le Comité de commémoration dirigé par le Professeur Mamadou DIOUF et les membres dudit Comité, les Forces armées et toutes les personnes qui, de près ou de loin, ont réalisé un travail remarquable. Ce qui a contribué à la réussite de l’organisation de cette première commémoration. Cet évènement douloureux nous rappelle une exigence de restauration de la vérité historique sur les faits désormais consacrés par le terme consensuel : « Massacre de Thiaroye ».

 

Pour vivifier la mémoire de ces vaillants tirailleurs africains, il a rappelé au 1 Gouvernement, sa décision d’instituer dans le calendrier républicain, la date du 1er décembre de chaque année, journée de commémoration du « Massacre des Tirailleurs de Thiaroye 44 ». Dans le même esprit, il a demandé au Premier Ministre et au Ministre des Forces armées de proposer un cadre réglementaire relatif au Musée-Mémoire-Cimetière de Thiaroye. Il a également invité le Gouvernement à renforcer le rôle du Comité de commémoration dans ses missions de recherche et de vulgarisation scolaire et universitaire de la mémoire collective sur cette séquence majeure de l’histoire du continent.

 

Revenant sur le bilan et les perspectives de la journée nationale des « Daara », le Président de la République a félicité le Ministre de l’Education nationale, les Chefs religieux et la communauté des « daara » dans toutes ses composantes pour la parfaite organisation et le succès de la troisième édition de la journée nationale des « Daara ».

Il a demandé au Ministre de l’Education nationale et à toutes les parties prenantes de préparer la tenue prochaine des Assises nationales sur les « daara » afin de mettre en œuvre à partir de 2025 une nouvelle feuille de route consensuelle pour asseoir le développement, sur tous les plans, des « daara » au Sénégal. Abordant la question de l’application intégrale du Code pastoral et de la relance de l’élevage, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre et au Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage de relancer l’organisation de la Journée nationale de l’Elevage.

 

Cette manifestation nationale de référence, doit demeurer un moment de concertation et de dialogue privilégié entre l’Etat et les acteurs de l’Elevage, mais également une instance inclusive d’évaluation et d’accélération de la transformation du sous-secteur. Il a invité le Ministre en charge de l’Elevage, en relation avec le Ministre des Finances et du Budget, de relancer le financement du sous-secteur de l’Elevage avec un renforcement significatif des ressources et des mécanismes opératoires du Fonds de Stabulation (FONSTAB).

 

Enfin, le Président de la République a évoqué la visite de travail qu’effectue au Sénégal le Président de la République gabonaise, le Général de Brigade Brice Oligui NGUEMA, accompagné d’une forte délégation ministérielle. Plusieurs axes pour le renforcement de la coopération et des partenariats entre nos deux pays ont été particulièrement retenus (éducation, formation, sécurité et défense, développement du secteur privé etc). Il a demandé au Ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères d’assurer la coordination de ces dossiers prioritaires avec les Ministres concernés. A l’entame de sa communication, le Premier Ministre a remercié Monsieur le Président de la République pour sa confiance renouvelée à son endroit et aux membres du Gouvernement.

Ce qui constitue un témoignage éloquent de la qualité du travail réalisé, sous ses orientations, durant ces huit premiers mois de son magistère. Il a souhaité plein succès au nouveau Ministre du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions. Après avoir relevé l’impérieuse nécessité pour le Gouvernement d’être en permanence guidé par la culture de la gestion axée sur les résultats, le Premier Ministre a appelé les Ministres et Secrétaires d’Etat à prendre en charge les défis immenses attachés à la mise en œuvre de l’Agenda 2050 de transformation systémique du Sénégal.

Dans ce cadre, le Premier Ministre a demandé au Ministre, Secrétaire général du Gouvernement, de coordonner les travaux de finalisation de sa Déclaration de Politique générale qu’il compte effectuer dans les 2 plus brefs délais devant la nouvelle Assemblée nationale. Par ailleurs, le Premier Ministre a exhorté les Ministres à engager l’année budgétaire 2025, en accordant une priorité aux dossiers les plus urgents. À cet effet, chaque ministère est instruit d’élaborer un plan d’actions pour le premier semestre 2025.

Dans ce sillage, le Premier Ministre a rappelé aux membres du Gouvernement l’importance à accorder à une parfaite planification des grandes échéances du programme de travail de leurs départements ministériels respectifs. Il a également demandé à faire l’évaluation des ressources humaines disponibles comparativement aux cibles de performances de leurs ministères.

 

Enfin, le Premier Ministre a informé le Conseil du plan de travail, d’ici au mois d’avril 2025, du Comité de commémoration du Massacre des tirailleurs sénégalais à Thiaroye le 1er décembre 1944. Ce qui coïncidera avec la présentation à Monsieur le Président de la République d’un livre blanc. Dans ce processus, le Premier Ministre a souligné l’importance capitale que constitue la réalisation de travaux de vérification, par des outils technologiques appropriés, des lieux d’inhumation déclarés ou présumés sur la base des recherches et des témoignages recueillis.

 

AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES,

Le Conseil a examiné et adopté:

Le Projet de Loi de Finances rectificative 2024 ;
Le Projet de Loi de Finances initiale 2025.
Le Ministre de la Formation Professionnelle, Porte-Parole du Gouvernement Amadou Moustapha Njekk SARRE.

 

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum

Tambacounda : un drame au cœur du quartier Quinzambougou

Tambacounda, capitale orientale du Sénégal, est à nouveau le théâtre d’un incendie en cette période de vents frais et de récoltes. Mardi 03 dec.2024, un sinistre a ravagé la chambre d’Ousmane Diallo, un conducteur de moto Jakarta, dans le quartier Quinzambougou, laissant une famille sans abri et sans ressources. Le récit de Papa Ousseynou Diallo

Des flammes incontrôlables
Alertés par la fumée et les cris, des voisins se sont précipités sur les lieux, mais l’intensité du feu empêchait tout accès à la chambre déjà dévorée par les flammes. À leur arrivée, les secours n’ont pu que constater les dégâts : des murs noircis et des biens complètement détruits, dont des vêtements, une coiffeuse, une armoire, une télévision, un matelas et un lit. L’ensemble des pertes est estimé à environ 2 millions de FCFA.

Une famille démunie
Dans ce logement où vivaient Ousmane, sa femme et leurs enfants, tout a été réduit à néant. « La chambre a pris feu alors que nous étions dans le salon », a témoigné l’épouse, encore sous le choc. Ousmane Diallo, absent au moment du drame, a retrouvé sa famille et son habitation en ruines. Avec des larmes aux yeux, il lance un appel à l’aide : « Il ne nous reste plus rien. »

Un appel à la solidarité
Ce sinistre, dont l’origine reste indéterminée, rappelle l’urgence de renforcer les mesures de prévention contre les incendies domestiques, particulièrement en cette saison. En attendant des réponses, la famille Diallo espère le soutien des bonnes volontés pour se reconstruire après ce drame.

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum

Déclaration de Politique générale : L’annonce du premier ministre Ousmane Sonko

Ousmane Sonko veut à présent faire sa déclaration de politique générale. Le premier ministre en a fait l’annonce en conseil des ministres ce mardi.

Le Premier Ministre a demandé au Ministre Secrétaire général du Gouvernement, de coordonner les travaux de finalisation de sa Déclaration de Politique générale. C’est ce que rapporte le communiqué du Conseil des ministres. Ousmane Sonko compte «effectuer la Déclaration de politique générales dans les plus brefs délais devant la nouvelle Assemblée nationale», informe le texte.

Par ailleurs, le Premier Ministre a exhorté les Ministres à engager l’année budgétaire 2025, en accordant une priorité aux dossiers les plus urgents. À cet effet, chaque ministère est instruit d’élaborer un plan d’actions pour le premier semestre 2025, renseigne le communiqué du Conseil des ministres.

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum