samedi, février 1, 2025
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«Affaire des 94 milliards» : grosse révélation sur le dossier

Le dossier «Affaire des 94 milliards» a atterri au niveau du Pool judiciaire financier (Pjf). C’est Me Khoureychi Bâ, avocat de Ousmane Sonko, accusateur et accusé dans cette affaire, qui donne l’information dans L’Observateur de ce vendredi. «Le dossier est là-bas et attendez-vous à ce que des gens soient convoqués, aussi bien le plaignant que les personnes incriminées. Ils vont être entendus, ça sûr», assure l’avocat.

Du côté de Mamour Diallo, principal accusé dans cette affaire, on ne confirme pas. «Je ne suis pas au courant de la transmission du dossier au Pool judiciaire financier, et Mamour Diallo ne m’a pas encore saisi de cela», répond Me El Hadji Diouf, qui défend l’ancien directeur des Domaines.
Source: Seneweb
Fatou Kiné Loum

Convocation de Bougane : La mise en garde musclée de sa coalition !

 La coalition «Sàmm sa Käddu», à laquelle appartient «Guem Sa Bop», vient de réagir sur la convocation de Bougane Gueye Dany par la Brigade de Cybercriminalité.

«La convocation du Président Bougane Gueye Dany à la cybercriminalité, à la veille des élections législatives est une provocation et une insulte à la démocratie.» Telle est la réaction de la coalition Samm sa Kaddu.

Elle déclare dans son communiqué de presse parvenu à iGFM, qu’en convoquant un candidat de la liste «Sàmm sa Käddu» aux élections législative à venir, c’est toute une coalition qui cherche à être déstabilisée et divertie. Elle dit donc prendre à témoin l’opinion  sur les menaces que le régime Sonko-Diomaye fait peser sur la démocratie et les libertés.

«La coalition Sàmm sa Käddu met en garde le régime actuel sur sa volonté cynique d’utiliser les prérogatives régaliennes de l’Etat du Sénégal pour museler ses adversaires politiques. Sämm Sa Kàddu fera face aux tentatives d’intimidation au nom de la démocratie et des libertés», avertit-elle.

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum

Contrat de Aliou Cissé : l’État se radicalise dans une «lettre confidentielle»

Une nouvelle qui tombe mal. À proximité de la double confrontation du Sénégal contre le Malawi dans le cadre des qualifications de la Can 2025, le 11 puis le 15 octobre. Alors que le coach des Lions a déjà envoyé les convocations des joueurs retenus pour ces deux rendez-vous. «Le contrat liant le sélectionneur national, Aliou Cissé, à la Fédération sénégalaise de football (Fsf) ne sera pas renouvelé. Ainsi, en ont décidé les nouvelles autorités.»

C’est Sud Quotidien qui donne l’information dans son édition de ce mercredi. Le journal précise que c’est la ministre des Sports, «dans une lettre confidentielle envoyée à l’instance fédérale du football», qui a posé son véto face à la volonté de celle-ci de prolonger d’un an le contrat du technicien de 48 ans.

Sud rapporte que la Fsf  rendra publique la décision de l’État ce mercredi, lendemain «de la réunion du comité d’urgence» consacrée au sujet. La ministre aurait été convaincue de sonner la fin pour Aliou Cissé par les sifflets qui sont descendus des travées du stade Abdoulaye-Wade après le récent nul (1-1) des Lions face aux Étalons du Burkina Faso.

«La victoire (0-1) acquise à l’extérieur devant le Burundi à Lilongwe au Malawi n’a pas fait fléchir la position de l’État», soutient la même source. Qui se demande, maintenant que la reconduction de Aliou Cissé est à l’eau, qui va diriger les Lions pour la suite des qualifications, notamment pour les deux matchs contre le Malawi. «Est-ce que c’est son adjoint, Pape Bouna Thiaw, qui va assurer l’intérim ? Le cas échéant, jusqu’à quand» interroge le quotidien d’information.

Aliou Cissé est à la tête des Lions depuis 2015. Le capitaine de la Génération-2002 a offert son plus beau palmarès au football sénégalais en tant que sélectionneur : vainqueur de la Can 2021, deux éditions de Coupe du monde (2018 et 2022) et finaliste de la Can 2019. Sous son magistère, le Sénégal a longtemps occupé la tête du classement Fifa/Afrique.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

POLICE : Les détails de l’interrogatoire de Cheikh Yérim Seck !

Yérim Seck placé en garde à vue pour avoir contesté les chiffres fournis par le premier ministre Ousmane Sonko. C’est en tout cas, ce qui semble ressortir de l’interrogatoire de l’ancien journaliste de “Jeune Afrique” hier à la Police

Dans sa livraison de ce mercredi, L’Observateur a consacré une bonne page à l’affaire Cheikh Yérim Seck. Je quotidien renseigne que le journaliste a été convoqué pour ses propos sur les chiffres avancés par le Premier ministre lors de sa sortie pour justifier des détournements faits par l’ancien régime de Macky Sall. Chiffres qu’il avait démentis.

En lui montrant un court extrait de l’émission (L’invité de Mnf), les enquêteurs lui ont demandé de revenir, de façon concise, sur les chiffres qu’il avance. Le journaliste a vite fait de les corriger, leur disant qu’il n’a pas annoncé de chiffres, que c’est le Premier Ministre qui a avancé des chiffres, à propos du déficit public et du ratio de la dette par rapport au PIB (Pro-duit Intérieur Brut).

Mais les policiers ont voulu savoir s’il avait l’intention de remettre en cause la véracité de ces chiffres ou d’exprimer un point de vue personnel. Cheikh Yérim leur rétorque que son intention était, dans le cadre de l’expression de son point de vue personnel, de remettre en cause la véracité des chiffres avancés par le Premier Ministre. Il ajoute que de science certaine, aucune des sources habilitées, notamment le Fmi et la Banque mondiale, n’a donné les chiffres avancés par le Premier ministre.

Selon L’Obs, il a précisé que même le site officiel du Ministère des Finances du Sénégal ne donne pas ces chiffres. Cheikh Yérim pousse les choses plus loin en leur disant que même le rapport de la Cour des Comptes, organisme habilité, n’a pas donné ces chiffres avancés par le Premier ministre. Face aux questions des limiers pour savoir sur quelle source il s’est basé, le journaliste leur apprend que toutes les sources habilitées, attestent que ce que dit le Premier ministre est faux.

Les enquêteurs lui demandent ensuite s’il a vérifié les informations données par Sonko auprès de sources crédibles ou officielles. Cheikh Yérim est resté sur sa ligne de défense et a laissé entendre aux enquêteurs, selon des sources proches de l’enquête, qu’il n’y a pas meilleure source que le site officiel du Ministère des Finances du Sénégal, dont les chiffres diffèrent de ceux avancés par le Premier Ministre.

II leur apprend que même le représentant résident du Fmi a confirmé, dans une interview, les chiffres antérieurs à la déclaration du Premier Ministre. Il leur précise également qu’aucun pays de l’Uemoa avec un déficit supérieur à 10% ne peut lever de fonds, selon la réglementation communautaire. Il ajoutera que rien qu’en septembre 2024, le Sénégal a levé trente-cinq (35) milliards sur le marché de l’Uemoa. Ce qui est, selon le journaliste, la preuve que le chiffre de déficit budgétaire avancé par le Premier ministre est faux.

C’est là que les enquêteurs lui auraient dit que ses propos seraient diffamatoires à l’encontre du Premier Ministre ou même susceptibles de troubler l’ordre public. Le journaliste, niant avoir diffamé qui que ce soit, leur a signifié avoir dit des faits étayés par tous les organismes spécialisés sur la question. Il ajoute que sa seule intention était de rétablir la vérité des faits dans l’intérêt d’un dialogue démocratique et juste.

Il leur a aussi signifié, selon L’Obs, que le fait que les nouvelles autorités aient pu lever 1,665 milliards FCfa depuis leur arrivée au pouvoir prouve que ce que le Premier ministre a dit est faux. Car au-delà d’un déficit de 10 % et d’un ratio de la dette de 80% par rapport au Pib, on ne peut lever un franc Cfa. Il ajoute que les documents pour prouver cela sont partout. Retrouvez l’intégralité de l’article dans L’Observateur.

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum

Législatives anticipées : rencontre entre le ministre de l’Intérieur et les parties prenantes

Le ministre de l’Intérieur, Jean Baptiste Tine, rencontre, ce samedi à Dakar, les parties prenantes, en vue des élections législatives anticipées.

Le ministres de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Jean Baptiste Tine, rencontre samedi les représentants des partis, coalitions, entités regroupant des personnes indépendantes, organes de contrôle et de supervision du processus électoral, annonce un communiqué reçu à l’APS.

La rencontre, prévue à partir de 9 heures, au Radisson Blu, va servir de cadre d’échanges sur le processus électoral.

Les Sénégalais sont appelés aux urnes le 17 novembre prochain pour des élections législatives anticipées, après que le chef de l’État a usé de ses prérogatives constitutionnelles pour dissoudre l’Assemblée nationale.

Source: Igfm
Fatou Kiné Loum

Pastef-Pur : Ousmane Sonko-Serigne Moustapha Sy, les raisons d’un clash

Devant ses disciples, lors du gamou, le guide des moustarchidines, Serigne Moustapha Sy, a lourdement chargé Ousmane Sonko. Lui reprochant de chercher à l’ignorer, de lui faire du chantage, il a déclaré l’attendre au tournant des législatives. Pour Wal fadjri Quotidien, cette sortie au vitriol de celui qui est en même temps le responsable moral du Pur «serait le fruit d’une rupture de confiance entre lui et Ousmane Sonko».
 
Trois facteurs en seraient la base, si l’on en croit le journal. Il y a ce que le maire de Thiès-Ouest, Mamadou Djitté, appelle la «boulimie de Pastef». «Au niveau local, si le maire est Pur, c’est mon cas, les conseillers de Pastef lui mènent une guerre sans merci, pointait-il dans un entretien avec le journal de front de terre. Si le maire est de Pastef et qu’il démissionne parce qu’il est nommé ministre, si le successeur potentiel est du Pur, on fait tout pour l’isoler. C’est le cas à la Patte d’Oie. Ce n’est ni élégant ni généreux politiquement.»

L’édile d’ajouter qu’«au niveau national, tout le monde sait que, et même eux ils le savent, le Pur est l’allié le plus crédible de Pastef dans Yewwi Askan Wi. Les responsables de Pastef croient que c’est ce sont seulement eux qui sont légitimes pour gouverner au niveau local et national. Et cela, le Pur ne saurait l’accepter».

Deuxième source potentielle de tension, selon Walf, une sortie du secrétaire général national du Pur, Cheikh Tidiane Youm, qui remettait en cause la candidature de Bassirou Diomaye Faye. C’était en pleine campagne de la présidentielle de mars dernier. «L’État est sérieux, avait-il suggéré. On ne doit pas élire un Président pour des raisons sentimentales. On ne doit pas choisir un Président qui est dans l’ombre de quelqu’un. On ne choisit pas un Président pour qu’un autre fasse le travail à sa place.»

Et pour ne pas arranger les choses, Ousmane Sonko a, semble-t-il, pris ses distances avec Serigne Moustapha Sy. Illustration récente : il n’a pas sacrifié à une tradition qui veut qu’il envoie une délégation à la conférence des moustarchidines lors du gamou. «Les leaders de Pastef venaient célébrer le gamou avec nous, rappelle une source de Walf. L’année dernière, Sonko, empêché, avait envoyé une délégation malgré tout. Pour cette année, Pastef n’a pas envoyé de délégation.»

Source: Seneweb
Fatou Kiné Loum

Reddition des comptes : cinq dossiers transmis à la DIC, les auditions démarrent aujourd’hui

Installé mardi dernier, le Pool judiciaire financier (PJF) a transmis ses premiers dossiers à la Division des investigations criminelles (DIC). Ces dossiers, au nombre de cinq, concernent des hommes d’affaires et d’anciens dignitaires de l’ancien régime, souffle L’Observateur. Le journal ajoute que les auditions démarrent ce vendredi matin, 20 septembre, soulignant que « le premier client du PJF est un homme d’affaires sénégalais ». Ce dernier « va ouvrir le bal devant les enquêteurs de la Brigade des affaires financières de la DIC », poursuit le quotidien d’information.

L’homme d’affaires, annoncé à 09 heures dans les locaux de la branche de la DIC logée dans les locaux du Tribunal de grande instance de Dakar, « devra s’expliquer sur les lingots d’or extraits des mines de Sabadola et autres sites miniers dans le Sud-Est du pays », complète L’Observateur. « Des documents découverts au ministère des Mines mentionnent des noms de sociétés avec lesquelles il a travaillé dans le processus d’exportation de lingots d’or affinés en Suisse », souligne l’accusation.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

Mali: les attaques jihadistes à Bamako ont fait plus de 70 morts (sources sécuritaires)

Les attaques jihadistes de mardi contre une école de gendarmerie et l’aéroport militaire de Bamako, la capitale du Mali, ont fait plus de 70 morts et 200 blessés, l’un des bilans humains les plus meurtriers de ces dernières années dans les rangs des forces de sécurité.
 
Une source sécuritaire a fait état de 77 morts et 255 blessés. Un document confidentiel officiel authentifié rapporte une centaine de morts, et cite nommément 81 victimes. Le quotidien Le Soir de Bamako annonce à sa une “les obsèques d’une cinquantaine d’élèves gendarmes” ce jeudi.
 
Les autorités dominées par les militaires se sont gardées jusqu’alors de communiquer un bilan humain précis de cette opération dont l’ampleur n’avait pas été vue depuis longtemps dans la capitale et qui contredit les proclamations de la junte au pouvoir quant au succès de sa stratégie.
 
L’état-major s’est contenté de reconnaître mardi soir “quelques pertes en vies humaines”, notamment des élèves gendarmes, alors que différentes sources faisaient état d’un nombre très élevé de morts.
 
Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM ou JNIM suivant son acronyme arabe) qui a revendiqué l’opération, a rapporté via ses canaux de communication que quelques dizaines de ses hommes avaient fait pendant neuf heures des centaines de morts et de blessés dans le camp adverse, dont des membres du groupe russe Wagner, allié du régime militaire de Bamako. Ses combattants ont ensuite été tués, a-t-il dit.
 
Les attaques de mardi ont eu lieu le lendemain du premier anniversaire de l’Alliance des Etats du Sahel, regroupant le Mali, le Burkina Faso et le Niger, trois pays dirigés par des militaires à la suite de putschs successifs depuis 2020, qui ont rompu leur alliance avec l’ancienne puissance coloniale française.
 
– Démonstration –
Les jihadistes ont attaqué avant l’aube l’école de la gendarmerie et donné l’assaut à l’aéroport militaire proche. Ils se sont assuré temporairement le contrôle d’une partie de la plateforme et du pavillon présidentiel où arrivent et partent le chef de l’Etat et ses hôtes. Des images de propagande du GSIM montrent ses hommes détruisant des appareils.
 
La capitale n’avait pas été le théâtre d’une telle opération depuis 2016 alors que d’autres régions du pays sont en proie à des attaques quasi quotidiennes.
 
Le JNIM a voulu faire mardi la démonstration de sa capacité à frapper où il le veut quand il le veut, estiment des analystes. Il a mis à mal la rhétorique de la junte selon laquelle sa stratégie de rupture avait permis d’inverser la tendance face aux jihadistes, après des années de descente aux enfers depuis le déclenchement d’insurrections salafiste et indépendantiste dans le nord du pays en 2012.
 
Jeudi, le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a “condamné avec fermeté” les attaques jihadistes qui ont frappé Bamako et lancé “un appel pressant au renforcement de la collaboration stratégique régionale et internationale dans la lutte contre la recrudescence du terrorisme” en Afrique de l’Ouest.
 
La veille, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), dont le Mali a quitté les rangs en début d’année, avait exprimé sa “ferme condamnation” des attaques et “réitéré son ferme engagement en faveur de toute initiative” favorable à la paix.
 
Source: Seneweb
Fatou Kiné Loum

Inondations à Touba: Un enfant de 4ans tué dans un effondrement

Avec les eaux qui ont pris possession de plusieurs demeures à Touba, les effondrements se multiplient. Ce jeudi, un enfant de 4 ans a perdu dans la cité religieuse suite à l’éboulement d’un mur.

À Touba, la douleur ne s’estompe toujours pas. En effet, ce jeudi, un enfant, âgé de seulement quatre ans (4),  a perdu la vie dans des conditions tragiques au niveau du quartier de Guédé. Ce qui porte le nombre de décès engendrés par les inondations à quatre.

Selon les informations fournies par le correspondant de Gfm, un mur s’est effondré sur lui. Car, les fortes pluies qui ont inondé la cité religieuse et occasionné beaucoup d’effondrements, ont aussi affaibli plusieurs constructions dans la capitale du mouridisme.

Hier mercredi,  Serigne Mountakha Mbacké, le Khalife général des mourides, avait déboursé 200 millions de nos francs Cfa pour aider à soulager les populations. Le patriarche avait aussi appelé à la solidarité, notamment ceux qui ont des demeures non utilisées dans la cité afin qu’ils les mettent à disposition des sinistrés.

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum