vendredi, janvier 31, 2025
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Suppression de la troisième tranche du Woyofal : Les éclairages de Papa Mademaba Bitèye…

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Le directeur général de la Société nationale d’électricité (Senelec) a apporté des éclairages sur l’annonce faite par le ministre du Pétrole et des Énergies, Antoine Félix Abdoulaye Diome et qui concerne la suppression de la troisième tranche du Woyofal.

«Nous avons bon espoir, compte tenu des diligences que l’Etat nous a demandé d’effectuer, que cette décision sera applicable à partir du 1er décembre», a déclaré Mademba Bitteye sur la Rts, relayée par Senego.

«Le gouvernement avait saisi la Senelec pour lui demander de supprimer la troisième tranche. Et Senelec a confectionné une nouvelle grille tarifaire qui a été, à présent, soumise au régulateur qui devra la valider. Et à partir de ce moment nous allons l’appliquer aux clients de Selenec», ajoute le dg de la Senelec.

Selon Pape Mademba Bitèye, une fois appliquée, les clients de la deuxième et la troisième tranche auront le même tarif. «Ce qui fait des économies assez importantes. Parce que, pour le client domestique, ça va jusqu’à 13 francs Cfa d’économies pour le kilowatt consommé», termine-t-il.

Présidentielle 2024 : Une mission de la CEDEAO déployée au Sénégal

Dans le cadre du protocole additionnel sur la démocratie et la bonne gouvernance de la CEDEAO, la République du Sénégal se prépare activement à accueillir l’élection présidentielle le 25 février 2024. Pour garantir la transparence et l’équité du processus électoral, le président de la Commission de la CEDEAO, Omar Alieu Touray, a déployé une mission d’information préélectorale qui séjourne au Sénégal du 27 novembre au 3 décembre 2023, renseigne un communiqué de l’institution ouest-africaine, parcouru par Seneweb.

Conduite par l’ambassadeur Dr Abdel-Fatau Musah, Commissaire aux Affaires politiques, paix et sécurité, cette délégation de haut niveau comprend des experts provenant des États membres de la CEDEAO. Parmi eux, Awa Amadou Aboudou Nana, ancienne présidente de la Cour de justice de la communauté (CCJ) et membre du Conseil des sages de la CEDEAO, Nassirou Bako Arifari, ancien ministre des Affaires étrangères du Bénin, membre du Parlement de la CEDEAO, Joao Ribeiro Butiam CO, représentant permanent de la République de Guinée-Bissau auprès de la CEDEAO, membre du Comité des représentants permanents, Roland Kouassi Amoussouga Gero, ancien directeur des Affaires politiques au Bureau du représentant du secrétaire général des Nations Unies en Afrique de l’Ouest et au Sahel basé à Dakar, et enfin Me Amlan Victoire Alley, experte juriste de la Côte d’Ivoire.

La mission a pour objectif premier de tenir des consultations approfondies avec les acteurs politiques et les parties prenantes au processus électoral sénégalais. Ces consultations visent à évaluer le niveau de préparation du pays pour les élections, à identifier les défis à surmonter et à déterminer les domaines dans lesquels un appui de la CEDEAO pourrait être nécessaire pour soutenir les efforts en vue d’établir le consensus nécessaire à un environnement propice à la tenue d’élections pacifiques et crédibles au Sénégal..

Un bébé de sexe masculin retrouvé dans un champ de mil, le corps mutilé

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Un bébé de sexe masculin a été retrouvé dans un champ de mil, le corps mutilé à Orkodjiéré Depuis le dimanche 26 novembre, le village de Doundé suitée dans la commune de Orkadjiéré dans la région de Matam est secoué par la découverte d’un bébé de sexe masculin, dans un champ de mil, le corps mutilé. D’après le journal Observateur le berger Demba Sow qui conduisait ses troupeaux dans la forêt de Doundé, en traversant le champ de mil déjà défriché remarque un morceau de tissu enveloppant un corps humain. Il découvre un nouveau né avec un placenta posé au dessus. Mais sans les deux bras et ainsi que l’un des jambes. C’est ainsi que le berger alerte automatiquement les éléments de la brigade de Semmé qui se sont automatiquement présentés sur les lieux pour faire le constat. Le bébé a été l’inhumé sur place avec l’orde du procureur de la République de Matam en attendant la suite des formalités administratives et l’ouverture de l’enquête. Farmata Diong

Guy Marius Sagna donne un ultimatum de 24h à Sidiki Kaba

Lors de l’examen du projet du budget du ministère de l’intérieur hier à l’assemblée nationale. Le député Guy Marius Sagna menace le ministre de l’ intérieur Me Sidiki Kaba de publier les documents qui prouvent qu’il y’a bel et bien une discrimination salariale chez les forces de défense et sécurité.

Il l’interpelle sur le retard de salaire des Agents de Sécurité de Proximité (ASP), les Primes de salaire au niveau Groupement Mobile d’intervention (GMI).

Selon SourceA, lors de sa prise de parole le député « le 22 août dernier, j’ai adressé une correspondance au ministère de l’intérieur pour dénoncer les retards de salaire des ASP.

Le 5 Mai aussi, je vous ai adressé une correspondance pour déplorer les retards de paiement des primes de 100 éléments du Gim à Kolda. Vous leur devez 6 mois d’arriérés de primes. J’ai aussi eu des échos que les policiers n’ont droit qu’à une seule tenue dans l’année ».

Poursuivant le député dit avoir adressé une lettre le 14 Avril au ministère de l’intérieur pour dénoncer la discrimination salariale chez les des Divisions

« Certains d’entre eux ont des salaires de 40000 FCfa de plus que leurs camarades de même grade ». Mais, déplore-t-il, « dans une réponse que j’ai reçue 7 mois après, vous dites qu’aucune discrimination salariale n’est constatée au sein de l’Asp. Or M. le ministre, j’ai un recours administratif adressé au président du Conseil de surveillance de l’Asp. J’ai le Pv de rencontre entre les 11 chefs de Division lésés avec le dg de l’Agence, j’ai un document portant chef de division lésé adressé au directeur général de l’Asp pour une résolution à l’amiable et maintenant vous voulez me faire croire qu’il n’y a pas de discrimination salariale. Soit vous avez été trompé, soit vous refusez de reconnaître la réalité ! »

Et décidé à ne pas rester les bras croisés face à cette situation, le député a donné un ultimatum de 24h pour dire la vérité sur cette question : « Ce délai passé, je publie tous les documents qui prouvent que vous n’avez pas dit la vérité ! » Cependant, cette information a été démentie par un de ses homologues membre de la majorité :

« Monsieur le Ministre, Guy Marius Sagna, est un menteur ! C’est le plus grand men-teur. Il ne vit que de mensonges. Si vous ne pouvez pas vous dé-fendre, nous sommes là pour vous défendre !», a martelé Seydou Dianko, un élu de la Mouvance présidentielle

Le député Ibrahima Diop dénonce l’accaparement des terres agricoles par les hommes politiques

Ce mardi 28 novembre à l’assemblée nationale, lors de l’examen du budget du ministère de l’Agriculture, de l’équipement rural et de la souveraineté alimentaire le député Ibrahima Diop a dénoncé la souffrance des cultivateurs.

Du fait que les politiciens s’accaparent des terres agricoles des paysans « On note aujourd’hui une bourgeoisie foncière et ça pose problème, a-t-il indiqué.

Des politiques se dotent de plusieurs hectares destinés à l’agriculture, en font des vergers construisent des maisons au détriment de la population ».

Poursuivant le député dit que « Le Plan Sénégal émergent (PSE) est le cimetière des illusions perdues du Yoonu yokute pour ne pas avoir pris en compte une agriculture prospective qui puisse relever les défis d’un pays qui se veut émergent ».

Selon le député Ibrahima Diop le prix du kilogramme estimé à 280 Fcfa est très bas « les huileries ne font pas d’efforts et imposent leur prix. Cela n’arrange pas les agriculteurs. Je ne suis pas d’accord que l’Etat subventionne l’agriculture et les paysans vendent les récoltes aux Chinois mais si l’Etat ne veut pas faire d’efforts, les paysans sont obligés de voir ailleurs ».

Pour plus de production d’huile le député propose de faire recours aux ingénieurs sénégalais qui sont à l’extérieur “Qu’on aille chercher ses fils du pays pour qu’ils puissent développer notre agriculture”. Farmata Diong

Transplantation rénale: « Il faudra débourser à peu près 10 millions FCFA » (Colonel Youhanidou Wane)

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Les premières transplantations rénales ont été réalisées dimanche 26 novembre 2023 au Sénégal à l’hôpital militaire de Ouakam. Il s’agit de l’aboutissement d’un long processus enclenché en 2015 sur lequel le Colonel Youhanidou Wane, directrice de la structure est revenue en détail en une interview avec L’Observateur.

« La transplantation rénale, c’est la vision du président de la République qui a tenu à mettre beaucoup d’ordre dans ce projet. Il a d’abord mis en place en 2015 le Conseil national pour le don et transplantation dirigé par le Professeur Fary Kâ (Chef du service Néphrologie de l’hôpital militaire de Ouakam). Il a fallu qu’il mette une base légale, un contenu. Un référentiel auquel les hôpitaux devaient se soumettre pour pouvoir trans- planter a été écrit. En 2020, on a demandé aux hôpitaux de soumettre leur candidature. Nous avons soumis, de même qu’un autre hôpital. Cela a pris du temps parce qu’il fallait se mettre aux normes. Le référentiel était rigoureux. Il fallait cocher toutes les cases et finalement nous avons été évalués par des experts. L’évaluation était très rigoureuse. Elle était faite sur la documentation, l’administration, les équipements, les compétences des médecins que nous avions. C’est à l’issue de cette évaluation que nous avons reçu l’agrément qui doit durer deux ans et qui nous donne l’autorisation de transplanter », a expliqué Colonel Wane.

« Dès 2015, nous avions mis en place un service d’urologie construit aux normes pour pouvoir accueillir la transplantation, donc l’intervention chirurgicale. Ensuite, nous avons acheté les équipements qu’il fallait petit à petit pour pouvoir être aux normes. Tout ceci a été fait avec les fonds de l’hôpital. L’hôpital a acheté la plateforme HLA. Cette plateforme permet de voir la compatibilité entre le donneur et le receveur. Elle n’existe pas dans la sous-région. Concernant les ressources humaines, le Docteur Babacar Diao a été formé à l’hôpital Henri Mondor dans le cadre de la transplantation. Pour augmenter nos compétences, deux médecins urologues ont été formés en 2021 en Turquie durant 6 mois à l’hôpital Florence Nightingale où ils se sont familiarisés avec les techniques de transplantation », a-t-elle ajouté.

Interpellée sur le coût de la transplantation, elle a trouvé difficile de faire une évaluation. « On ne peut pas faire une évaluation exhaustive parce qu’il faut prendre en compte les coûts directs et indirects, mais sachez que cela va se chiffrer à près de 10 millions. Pour transplanter un malade, il faudra donc débourser à peu près 10 millions. Il faut prendre en compte les tests, les médicaments à acheter etc. Mais en 2020, comme on le dit, l’union fait la force, nous nous sommes alliés à l’hôpital Aristide Le Dantec. C’est pourquoi on parle de consortium Hôpital militaire de Ouakam (Hmo)/Le Dantec. Trois urologues, notamment le professeur Babacar Diao, chef de service de l’urologie du Hmo et le chef de service adjoint de l’urologie de Le Dantec, le Professeur Babacar Sine et deux autres anciens internes sont issus de Le Dantec. Il y avait déjà cette familiarité entre Hmo et Le Dantec et au moment où nous faisions notre consortium, Le Dantec n’avait pas un bloc opératoire au ni- veau du service d’urologie qui pouvait faire la transplantation. Nous (Hmo), nous n’avions pas l’immunologie. Donc, nous avons joint nos forces pour faire une transplantation. Nous avons mené toutes nos activités en équipe. Il faut dire que ce mot équipe compte beaucoup parce que la transplantation ne se limite pas simplement à l’intervention. En amont, cela nécessite beaucoup de procédures. Il faut respecter beaucoup de règles comme les prélèvements. Tout le monde a été impliqué, les néphrologues, les urologues, les radio- logues, les immunologues, le laboratoire d’analyses et j’en passe. Parce qu’il fallait s’assurer qu’il n’y avait pas de maladies intercurrentes qui pouvaient gêner cette transplantation. Et à la fin, c’était la transplantation. Prendre le rein chez le donneur et le transplanter chez le receveur ».

La juge Aissatou Diallo Ba refuse de signer l’arrêt de la Cour suprême

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La juge Aissatou Diallo Ba n’a pas signé l’arrêt de la Cour suprême annulant la décision du juge Sabassy Faye du tribunal d’instance de Ziguinchor ordonnant la réintégration d’Ousmane Sonko sur les listes électorales parce qu’elle n’a pas participé au prononcé de l’arrêt du 17 novembre dernier.

Selon les Échos, la uge Aissata Diallo Ba n’était pas du même avis que ses collègues parce qu’elle estime que l’Etat du Sénégal n’était pas partie et n’avait pas donc qualité à agir. Donc, pour elle, l’Agent judiciaire de l’Etat n’avait rien à faire à l’audience.

L’attitude de la juge Aissatou Diallo Ba peut-être sanctionnée si le ministre de la Justice l’envoie l’Igag.

Les étudiants de l’UASZ mettent fin à leur grève

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Les étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor retrouvent les amphithéâtres, après un long boycott pour refuser la session unique et réclamer la livraison d’un pavillon de 1 000 lits, 12 amphis de 150 places et deux de 500 places.

Depuis deux semaines, ils ont décidé de reprendre les cours et sauver, disent-ils, l’année universitaire 2022-2023, avec au moins l’acquisition d’un semestre.

Une reprise des activités pédagogiques qui n’a pas été facile à faire comprendre à l’ensemble des étudiants, selon Bamba Seck, le coordonnateur de la Coordination des amicales des étudiants de l’UASZ.

Ce dernier, revenant sur les circonstances et les raisons qui ont motivé ce retour dans les amphis, a fait savoir que la dernière assemblée générale tenue le vendredi 10 novembre dernier n’a pas été de tout repos pour la Coordination des amicales des étudiants de l’UASZ.

Après une rencontre de la dernière chance avec les autorités universitaires et le corps enseignant pour espérer obtenir gain de cause, rencontre qui n’a rien donné, l’heure était venue pour eux de prendre une décision : continuer la grève et aller tout droit vers une année invalide, ou sauver l’année.

Pour Bamba Seck, le collège des délégués des étudiants avait le sentiment que les autorités ont comme ambition la fermeture de toutes les universités. De ce point de vue, il n’était pas question de donner aux autorités l’opportunité de fermer l’UASZ et le mettre sur le dos des étudiants.

Il s’y ajoute que depuis la rentrée universitaire, il a été difficile de terminer le semestre. Ceci étant, avec la grève des étudiants, les risques de ne pouvoir tenir ne serait-ce que la session unique tant combattue, devenaient de plus en plus grands.

Toutes ces équations posées sur la table ont permis à la Coordination des amicales des étudiants de revoir sa stratégie et de décider ainsi de la suspension de la grève. Ainsi, depuis le lundi 13 novembre, les amphithéâtres accueillent les étudiants

“Il est temps de faire taire les armes”, selon Macky Sall

Le président Macky Sall a profité de la cérémonie de la 9ème édition du Forum International de Dakar sur la Paix et la Sécurité en Afrique qui a rassemble plus de 400 participants, incluant des autorités gouvernementales de divers pays et des experts en sécurité internationale pour dire ses vérités.

” L’Afrique a besoin de se développer, nous avons un grand potentiel. Il est nécessaire de mettre fin aux coups d’État militaires, cela n’est pas acceptable. Nous devons déposer les armes et nous concentrer sur le dialogue pour la stabilité…La démocratie est un idéal pour tous, mais nous devons être prudents. La liberté sans responsabilité est une menace pour la société, nous devons combattre le populisme et le radicalisme”, a-t-il déclaré.

Il ajoute : ” En démocratie, il y a plus d’expériences à partager que de leçons à donner”.

Le thème de cette édition est : ” Le potentiel et les solutions de l’Afrique pour faire face aux défis de sécurité et à l’instabilité institutionnelle”.

Les acteurs du forum réfléchissent pour trouver des solutions appropriées pour les problèmes de sécurité et l’instabilité institutionnelle sur le continent. Elle est promue par le Centre des Hautes Études de Défense et de Sécurité (CHEDS), en partenariat avec le Ministère des Affaires étrangères du Sénégal.

Les guichets de la CDC désormais fonctionnels sans interruption de 8h à 19h sauf weekend

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Les guichets de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), habituellement ouverts de 8h à 16h30 (avec une pause de 13h30 à 14h30), seront désormais fonctionnels sans interruption de 8h à 19h, sauf les samedis et dimanches, jusqu’à la date de clôture des dépôts de candidatures. Au dernier jour des dépôts des candidatures, les guichets resteront ouverts jusqu’à 00h (minuit) pour la délivrance des attestations.

La CDC rappelle que cette caution, dont le montant est fixé à trente millions (30 000 000) de francs CFA par arrêté n°032006 du 25 septembre 2023 du ministre de l’Intérieur, ne peut être versée que par le biais d’un chèque de banque, conformément aux dispositions du code électoral. A la réception du chèque de banque, une quittance est délivrée au mandataire. C’est seulement après encaissement effectif du chèque de banque par la CDC que l’attestation de confirmation d’encaissement est délivrée.

Pour éviter tout retard dans la délivrance de l’attestation précitée, la Caisse des Dépôts et Consignations invite les candidats à la candidature de l’élection présidentielle du 25 février 2024 de bien vouloir prendre les dispositions nécessaires pour déposer leur caution au moins 48 h avant la date de clôture de dépôts des candidatures.

La CDC invite aussi les déposants à se présenter avec la lettre de désignation du mandataire, dûment signée par le Candidat à la candidature de l’élection présidentielle du 25 février 2024.