jeudi, janvier 30, 2025
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Louga : 23 morts dans un accident de la route

Vingt-trois personnes ont trouvé la mort après le renversement d’un bus à Louga, a-t-on appris de source médiatique.

L’accident est survenu ce mercredi matin vers la sortie de Nguene Sarr à quelques kilomètres de Louga. Les victimes ont été acheminées à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga.

Pour l’heure, les circonstances de ce drame n’ont pas encore été déterminées.

Nous y reviendrons

Baccalauréat 2023 : Plus de 77 800 candidats ont échoué cette année

Les résultats du baccalauréat 2023 sont tombés. Le Sénégal a enregistré un taux de réussite de 51,54%. Sur 155 109 candidats répartis dans 495 jurys, 77 284 ont décroché le diplôme. Les 34 261 sont passés au premier tour. Toutefois, 77 825 candidats ont échoué au baccalauréat cette année.

Commentant ces chiffres livrés par l’Office du Bac et repris par Vox Pop, le ministre de l’Éducation nationale, Cheikh Oumar Anne, a soulevé les 7642 mentions obtenues (145 Très Bien, 1419 Bien et 6648 Assez Bien).

Keur Massar – premières pluies et bonjour les calvaires pour les usagers

Ces dernières années, Keur Massar et ses environs et Rufisque sont devenu l’épicentre des inondations et leurs corollaires dans la région de Dakar. Les quelques millimètres de pluie enregistrés avant-hier, mardi 18 juillet 2023, annoncent déjà la couleur, provoquant d’énormes difficultés pour les automobilistes du département de Keur Massar.

Quelques militaires de pluie à Dakar et sa banlieue et bonjours les premiers désagréments. C’est le cas dans le 46ème département du Sénégal et ses environs, devenus depuis plus de trois hivernages l’épicentre des inondations à Dakar et sa région. Ici, la route des Niayes, qui relie Keur Massar à Tivaoune Peulh est impraticable. Le phénomène est récurent. Chaque année, pendant la saison des pluies, cette artère principale de la commune se transforment en lac, à plusieurs niveaux surtout les point bas et les crevasses, dès les premières pluies.

A quelques mètres du rond-point de Keur Massar, les cantines des commerçants ainsi que les étals des femmes qui exercent leurs activités sont sous la menace des eaux pluviales. Les eaux de ruissellement qui se sont déversés à cet endroit, la transformant en basin de rétention, notamment à hauteur de l’ancienne Gendarmerie, en face du marché, ont installé l’insécurité sur la route. Cette situation inquiète de nombreux chauffeurs et usagers. Ils craignent le pire, dans les jours à venir, le moment étant favorable à de fortes précipitations. Car, en général, les mois de juillet (vers la fin), août et septembre des quantités importantes de pluies tombent dans la région de Dakar.

Les nombreuses secousses ne rassurent guère les clients. Ils demandent aux conducteurs de rouler doucement. «Les autorités n’ont pas tiré les leçons du passé. Les eaux ont envahi cet axe. Aucune solution n’a été envisagée pour régler définitivement ce problème qui perdure des années. Les plans de lutte contre les eaux de ruissellement annoncés tardent encore à être matérialisé. Beaucoup devéhicules ont été endommagés, à cause des eaux», regrettent les transporteurs.

La réhabilitation de cette voix qui mènent, entre autres, au Lac Rose et d’autres la Grande Niayes jusqu’à Lompoul…, est nécessaire. «C’est à l’Etat de réfectionner toutes ces routes qui ont été dégradées par les eaux de pluies des précédents hivernages. Les communes n’ont pas les moyens de financer ces genres de travaux», a affirmé un habitant de la zone.

En ce qui concerne des désagréments occasionnés par les pluies, une vendeuse souligne : «nous pouvons rester des jours sans travailler, après de fortes pluies. Il n’existe pas de système d’évacuation des eaux stagnantes. C’est pourquoi, ce lieu situé dans un bassin est un réceptacle des eaux de ruissellement. Les canalisations vont finir par rejeter des eaux usées. Cela ne fera qu’exacerber une situation difficile à maîtriser».

Pourtant, les autorités ont été alertées, bien avant que l’hivernage ne s’installe. «Les conducteurs de voitures doivent prendre leur mal en patience. Vous pensez que c’est maintenant que les pouvoirs publics vont commencer à engager les travaux de cette route ?», s’interrogent les habitants de la ville.

Une route principale, car elle est incontournable pour les voitures qui assurent le transport des milliers de voyageurs en partance (ou en provenance) pour les localités de Niacuoulrab, Niague, Tivaouane Peulh, Sangalkam, le Lac Rose, entre autres. Les malades peinent à trouver une voiture pour leur évacuation à l’hôpital. La nuit, la situation s’empire. «Les prix du transport vont flamber. A cause de l’état des routes. Les rares chauffeurs qui acceptent de vous amener à destination, malgré la dégradation du trafic, vous obligent à payer plus cher», déplorent des usagers.

Pis, quand il s’agit d’évacuer un malade, les prix sont triplés. La plupart, des taximen que nous avons rencontrée estime que «c’est normal qu’on augmente les prix pendant l’hivernage, pour certains quartiers de la capitale. Nous courons des risques, nos véhicules peuvent s’enliser. Les pièces de la voiture peuvent se détériorer. Dès fois, on tombe en panne dans une marre d’eau en pleine circulation. Les gens pensent qu’avec tous ces problèmes, ce n’est pas raisonnable qu’on augmente tarifs», a fait remarquer un chauffeur de taxi. «Ceux qui veulent évacuer leurs malades à l’hôpital, au lieu de chercher un taxi, il y a un moyen plus adapté, très confortable : l’ambulance. Comme ça, ils payeront moins cher», a-t-il poursuivi.

Un jeune de Niacoulrab a, en travers la gorge, «l’escroquerie» dont il a été victime, lorsqu’il déménageait de Sicap Mbao pour s’installer dans la localité. «J’ai payé 10.000 FCFA entre Tally Mame Diarra à Fass Mbao et Niacoulrab. J’ai arrêté plus de trois taximen, quand je demande le prix, ils disent que c’est 10.000 FCFA. En réalité, c’est de l’arnaque, puisqu’ils savent que vous n’aviez pas d’autres solutions pour aller à destination.» Les populations souhaitent que des mesures adéquates soient prises, pour enrayer l’insécurité qui règne sur cet axe.

Sadio à Al Nassr : Ça bouge

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Sadio Mané pourrait être le prochain joueur à s’envoler pour l’Arabie saoudite. Selon ‘The Athletic’, l’un de ses représentants a rencontré le directeur sportif d’Al-Nassr, Goran Vucevic, au Portugal pour discuter d’un éventuel transfert.

Le départ du Sénégalais semble inévitable après une saison en demi-teinte avec le Bayern Munich, marquée par des blessures, des performances en dents de scie et une embrouille avec Leroy Sané.
Thomas Tuchel a déjà fait savoir publiquement qu’il ne retiendra pas l’attaquant, qui « n’a pas répondu aux attentes ».

Sadio Mané pourrait donc être l’une des recrues phares d’Al Nassr cet été après avoir enregistré les arrivées de Marcelo Brozovic et Seko Fofana.

Émigration Clandestine: Ce que Macky a demandé au gouvernement

A l’entame de sa communication lors du Conseil des ministres d’aujourd’hui, le Président de la République Macky Sall s’est incliné devant la mémoire des personnes décédées, suite aux récents accidents relevés en mer et a présenté ses condoléances les plus attristées aux familles éplorées, en cette douloureuse circonstance.

Dans ce contexte, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement d’intensifier les contrôles au niveau des zones et sites potentiels de départ, mais également de déployer l’ensemble des dispositifs de surveillance, de sensibilisation et d’accompagnement des jeunes à travers le renforcement des actions publiques multisectorielles de lutte contre l’émigration clandestine.

Présidentielle 2024 : Mame Gor Diazaka annonce sa candidature

La longue liste des candidats annoncés à la Présidentielle de 2024 se rallonge davantage. Après celle de Me El Hadji ce mardi, Mame Gor Diazaka annonce sa volonté d’aller concourir pour les suffrages à la présidence de la République. Artiste musicien, et conseiller municipal à la ville de Rufisque où il siège grâce à la propre liste lors des dernières échéances municipales et entrepreneur, Mame Gor Diazaka dit être déterminé à traverser toutes les étapes pour être parmi ceux qui vont compétir pour le siège du Président.

« Je suis candidat à l’élection présidentielle de 2024. Cette candidature murement réfléchie est motivée par ma conviction que ce pays mérite mieux au regard des candidatures déjà déclarées dont les plus distinguées sont portées par des gens qui sont en mailles avec la justice pour viol, détournements de deniers publics et autres infractions indignes et les autres connus pour des pratiques non catholiques dans leurs entreprises ou liées à leurs parcours non honorables d’hommes politiques », a indiqué Mame Gor Diazaka que senego a joint.

Le candidat rufisquois, répondant la question de savoir que fera-t-il de sa relation avec le Président Macky Sall, Mame Gor Diazaka de faire savoir qu’il a « accompagné le Président Macky Sall jusqu’à ce que celui-là annonce lui-même qu’il ne sera pas candidat ». « Macky Sall a dit qu’il ne sera pas candidat. Je lui ai accompagné jusqu’à ce que lui-même décide de jeter l’éponge. Ma mission pour l’instant s’arrête là. Je ne compte pas soutenir d’autres personnes. J’ai plus de mérite que beaucoup de ces gens que l’on cite. Mon nom n’est lié à aucun fait qui déshonore ma personne. Je suis digne fils de ce pays, qui vit ici et qui emploie des dizaines de personnes », a précisé Mame Gor Diazaka, Président du mouvement Declic.

En outre, Mame Gor annonce la mise en place très prochaine d’une grande coalition présidentielle qui va très rapidement dresser un programme de gouvernance pour un Sénégal prospère, respectueux des droits humains et qui mettra le Citoyen sénégalais au cœur de la gouvernance économique dans une République démocratique, souveraine, unie, ancrée dans ses valeurs et coutumes, forte et ouverte au reste du monde.(Avec Senego)

Touba : L’Hôpital Ndamatou inondé

Sitôt la pluie torrentielle, sitôt la recrudescence des inondations. L’hôpital Ndamatou de Touba est déjà sous les eaux. Les patients et leurs proches accèdent difficilement à l’hôpital. La réaction des autorités est sollicitée.

Abba Mbaye, député Taxawu : « Nous sommes allés au dialogue et on assume »

Très critiqué et qualifié de « dealer » avec Macky Sall, pour avoir participé au dialogue politique, le député de Taxawu Senegaal de Khalifa Sall a mis les points sur les « i ». Devant ses collègues, Abba Mbaye, d’un ton ferme, dit assumer d’avoir pris part au dialogue, avant d’exiger le respect envers eux.

Liberation des détenus politiques : Le préfet interdit la manifestation de ce vendredi

La manifestation prévue ce vendredi par le mouvement des forces vives de la nation F24 pour la liberation des détenus politique n’aura pas lieu. Le préfet du département de Dakar, Mor Talla Tine a interdit la manifestation. Dans un communiqué, l’autorité administrative évoque « des troubles à l’ordre public et une entrave à la libre circulation des personnes et des biens ».

Licenciement abusif : La Croix-Rouge condamnée à payer 393,9 millions de Fcfa

La Fédération internationale de la Croix-Rouge (Ficr) basée au Sénégal fait face à un scandale. L’organisation humanitaire est condamnée par le tribunal du travail hors classe de Dakar à payer une somme globale de 393,9 millions de Fcfa à douze de ses travailleurs licenciés illégalement.

Le jugement rendu le 29 mars dernier, fait suite à des licenciements abusifs survenus en mars 2022. Ces douze travailleurs avaient été limogés sans motifs valables, bien qu’ils disposaient de Contrats à durée indéterminée (Cdi) et qu’ils avaient une ancienneté allant jusqu’à 18 ans au sein de l’organisation. Déterminés à obtenir justice et à récupérer leurs droits, ces employés ont saisi la justice.

La Ficr avait demandé l’autorisation de licencier trois autres délégués du personnel auprès de l’Inspection régionale du travail de Dakar. Toutefois, l’Inspection du travail a rejeté cette demande en avril 2022, arguant que la Ficr n’avait pas fourni les états financiers certifiés de l’année en cours attestant de difficultés financières, et qu’elle n’avait pas recherché de solutions alternatives au licenciement. Malgré ce refus, la Ficr a maintenu les licenciements, qui semblent être en contradiction avec les conclusions de l’Inspection régionale du Travail de Dakar.

Le tribunal de Dakar a finalement été saisi du dossier après deux tentatives de conciliation infructueuses entre les parties. Lors de cette phase, la Ficr ne s’est jamais présentée pour chercher un accord à l’amiable, mettant en lumière son manque de volonté de régler le litige.