vendredi, janvier 31, 2025
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Assemblée nationale ou Primature : Ousmane Sonko a fait son choix

 

 

Ousmane Sonko, Premier ministre et président du parti Pastef, a confirmé qu’il ne siégera pas à l’Assemblée nationale. Il restera chef du gouvernement. Cette annonce faite par le Premier ministre sur la RTS1, met fin aux spéculations qui le voyaient accéder à la présidence de l’hémicycle.
 
« Je suis venu soumettre ma démission de mes fonctions de député. Par ailleurs, nous avons engagé plusieurs projets au sein de la Primature, et je me dois d’être pleinement opérationnel auprès du Président de la République. Ma présence ici a également pour objectif de réunir les députés de notre formation politique, Pastef, afin de leur transmettre un certain nombre de consignes », a fait savoir le leader du Pastef.

Pour rappel, après la victoire du Pastef, certains chercheurs voyaient Ousmane Sonko à tête de l’Assemblée nationale.
« Le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye doit continuer à diriger l’exécutif. Cela permettrait d’éviter toute forme de dualité, chaque acteur dirigeant un pouvoir distinct », avait affirmé le professeur Maurice Soudieck Dione.

 

 

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

JOJ – Le COJOJ et le MEN signent un partenariat

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Le ministère de l’éducation nationale a signé un accord de partenariat avec le comité d’organisation des jeux olympiques de la jeunesse ce vendredi 29 novembre 2024 en présence du coordinateur général du COJOJ Dakar et des présidents de Fédérations. Ce pour mettre en place un plan stratégique pour garantir l’implication  du plus grand nombre de notre jeunesse dans l’organisation des JOJ 2026.

Mamadou Diagne Ndiaye président du comité d’organisation des JOJ Dakar 2026 explique l’importance de ce partenariat. « Il n’y a pas plus approprié que le cadre de l’école pour garantir l’implication du plus grand nombre de notre jeunesse dans l’organisation des JOJ et leur laisser un souvenir qui restera à jamais imprimé dans leur conscience. C’est pour cela que le COJOJ a choisi de vous avoir comme partenaire de choix dans le déroulement de trois dimensions majeures des jeux à savoir : la mise en place du brevet olympique, civique et sportif, une initiative innovante dont la finalité est d’imprimer partout dans le pays, à travers tous les 11000 établissements scolaires. La tournée de la flamme olympique qui sera relayée dans toutes les académies de notre pays et permettre aux élèves, aux enseignants mais aussi aux parents de communiquer avec ce symbole fort des jeux. Le concours de création de la mascotte des jeux olympiques qui sera lancé officiellement dans les prochaines semaines, et qui sera un moment important d’implication de l’école et de recours à l’imagination de nos jeunes talents pour faire naître un symbole qui marquera l’histoire de jeux de notre continent », affirme-t-il.

Avec le slogan bien trouvé des JOJ Dakar 2026 « L’Afrique accueille, Dakar célèbre », le Sénégal a selon le président du COJOJ,  l’honneur mais aussi la responsabilité historique d’accueillir pour le compte du continent, ce premier événement d’envergure mondiale. « A travers ces jeux, notre nation sera le miroir de la diversité et de la richesse culturelle de tout le continent africain. Pour incarner cet esprit unique, nous avons le devoir de mettre notre jeunesse au premier  plan et lui laisser une place de choix », a-t-il déclaré.

Il ajoute. « Notre accord de ce jour offre donc le cadre pour mieux asseoir le programme et convenir de son amplification. Il constitue un moment clé dans notre engagement collectif à promouvoir l’excellence, à encourager l’innovation et à mettre en lumière le génie créatif de la jeunesse sénégalaise ».

 

 

Le procès d’Adama Gaye vient de se terminer. Après avoir présenté ses excuses, la date du délibéré a été fixée

Le journaliste Adama Gaye a comparu ce vendredi 29 novembre devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, où il est poursuivi pour diffusion de fausses nouvellesPlacé sous liberté provisoire depuis son audience avec le Procureur de la République, ce dernier a requis une peine de six (6) mois avec sursis, ainsi qu’une amende de 500 000 FCFA à l’encontre du prévenu. il attend désormais le délibéré de son procès, prévu pour le 6 décembre prochain.

Les faits reprochés

L’affaire remonte à une émission diffusée sur la chaîne Sen TV le 20 novembre dernier. Adama Gaye avait alors déclaré que Mamadou Moustapha Ba, ancien ministre des Finances et du Budget, décédé récemment, avait été assassiné. Il avait ajouté que le procureur chargé de l’enquête devait se pencher sur « les gens de l’ancien régime », suggérant une piste politique pour élucider le décès. Ces affirmations ont suscité un tollé, plaçant le journaliste au centre d’un débat médiatique et judiciaire.

Le déroulement du procès

Durant l’audience, selon des informations rapportées par Le Soleil, Adama Gaye a reconnu sa responsabilité devant la barre et présenté des excuses publiques. Il a admis un manque de précaution dans ses propos. « Cela fait 45 ans que j’exerce ce métier sans jamais avoir été condamné. La leçon à retenir ici, c’est que j’aurais dû faire preuve de plus de prudence. Je bats ma coulpe sur ma poitrine et je reconnais avoir failli », a-t-il déclaré. Le journaliste a souligné qu’il n’hésitait pas à faire amende honorable lorsque cela s’avérait nécessaire.

Ses avocats, parmi lesquels Me Adja Diallo, Souleymane Soumare, François Senghor et Seydou Diagne, ont livré une défense que l’accusé a qualifiée de brillante. Ils ont insisté sur le droit à la liberté d’expression et ont demandé que l’affaire soit jugée dans un cadre garantissant le respect des principes fondamentaux de la justice.

Une réaction publique après le procès

Quelques minutes après l’audience, Adama Gaye s’est exprimé via ses réseaux sociaux. Il a remercié ses avocats pour leur prestation remarquée et salué le rôle du tribunal, notamment sa présidente, ainsi que le procureur, pour avoir permis un débat approfondi autour des accusations portées contre lui. « Je pense que ma cause est sortie renforcée et que le droit sénégalais a gagné en crédibilité », a-t-il écrit.

Il a également tenu à exprimer sa gratitude envers sa famille, le peuple sénégalais, ainsi que les organisations de défense des droits humains, dont celle dirigée par Seydi Gassama, pour leur soutien indéfectible tout au long de cette épreuve. « Si j’ai pu tenir debout et droit, c’est grâce à vous », a-t-il affirmé.

En conclusion, le journaliste a évoqué ses projets futurs, notamment des activités dans le domaine des affaires internationales et des formations qu’il envisage de suivre pour enrichir son savoir. Il a ajouté : « Je remercie Dieu de m’avoir couvert de sa grandeur. Le temps du repos et du recul est venu. »

 

Source: Senego

Fatou Kiné Loum

Tribunal : Samuel Sarr placé sous mandat de dépôt, son avocat charge la Primature

Samuel Sarr a été placé sous mandat de dépôt ce jeudi. Il est poursuivi pour abus de biens sociaux. Son avocat parle de dossier politique.

«C’est un dossier politique  et c’est la primature qui politique le dossier. Parce qu’on ne peut pas envoyer en prison un Directeur de société pour abus de biens sociaux. Ça n’a pas de sens», a dénoncé son avocat Me Baboucar Cissé.

Source : Igfm

Fatou Kiné Loum

URGENT – Le Pr. Diomaye a fixé la date d’ouverture de la première session de l’Assemblée

Les résultats définitifs des législatives proclamés par le Conseil Constitutionnel, le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, a fixé la date d’ouverture de la première session de l’Assemblée nationale au lundi 2 décembre prochain. C’est ce qu’a annoncé la présidence dans un communiqué de presse que nous vous proposons ci-dessous.

Source: Igfm
Fatou Kiné Loum

Le Pr. Diomaye révèle : «J’ai reçu une lettre du Pr. Macron dans laquelle il reconnait…»

Le Sénégal attend-t-il des excuses de la France par rapport au massacre de Thiaroye ? Le Président Bassirou Diomaye Faye, dans un entretien accordé à France 2, a répondu à la question. Il a fait une révélation.

«Naturellement on n’en est pas encore à l’exercice d’excuses. Mais je dois vous révéler que j’ai reçu aujourd’hui une lettre du Président Macron dans  laquelle il reconnait, en effet, un massacre. Ce pas consistant à reconnaître que c’est un massacre, doit ouvrir la porte à une collaboration parfaite pour la manifestation  de toute la vérité sur ce douloureux évènement de Thiaroye.»

«Évidemment il y a quelque chose qui a été cachée. On a  régulièrement essayé à mettre une chappe de plomb sur cette histoire-là, et nous pensons que pour celle fois-là, l’engagement de la France sera totale, qu’elle sera franche et collaborative et qu’elle sera entière dans cette collaboration.»

Bases militaires françaises

«Est-ce qu’en tant que français vous envisagez nous voir dans votre pays avec des chars ou avec de véhicules militaires sénégalais avec  des tenues sénégalaises? Évidemment je pense que quand vous inversez un peu les rôles vous concevrez très mal qu’une autre armée, de la Chine, de la Russie, du Sénégal ou n’importe quel autre pays puisse avoir une base  militaire en France.»

La primeur aux autorités françaises

«Il n’y a pas encore de délais de rigueur par rapport à ça. Et si ça doit être fait les autorités françaises en auront la primeur et suivant les calendriers établis.»

Source: Igfm

Fatou Kiné Loum

 

Il mange la banane… qu’il a achetée 6 millions d’euros

Est-ce la bouchée la plus chère de l’histoire? Acheteur à 6 millions d’euros d’une oeuvre d’art, constituée d’une banane scotchée à un mur, un homme a tenu vendredi sa promesse: il a mangé le fruit.
 
Dans un luxueux hôtel de Hong Kong, Justin Sun, entrepreneur sino-américain et fondateur de la plateforme de cryptomonnaies Tron, a englouti la banane devant des dizaines de journalistes et d’influenceurs.
 
Le trentenaire avait auparavant prononcé un discours qualifiant cette oeuvre d’art d'”iconique” et établi des parallèles entre l’art conceptuel et les cryptomonnaies.
 
“Elle est bien meilleure que les autres bananes”, a-t-il déclaré après avoir avalé la première bouchée.
 
“C’est vraiment très bon”, a-t-il souligné.
 
L’oeuvre consiste en une banane accrochée à un mur avec un gros morceau de scotch argenté. Intitulée “Comedian”, elle a été créée par l’artiste iconoclaste et provocateur italien Maurizio Cattelan.
 
Elle avait été vendue la semaine dernière à New York pour 6,2 millions de dollars (5,9 millions d’euros) lors d’une vente aux enchères organisée par la maison Sotheby’s.
 
Justin Sun a déclaré avoir ressenti de l'”incrédulité” dans les dix premières secondes après avoir remporté la vente. A l’issue des dix secondes suivantes, il avait décidé qu’il mangerait la banane.
 
“La manger lors d’une conférence de presse peut aussi faire partie de l’histoire de cette oeuvre d’art”, a-t-il expliqué vendredi.
 
L’oeuvre existe en trois exemplaires. Elle est censée interroger la notion d’art et sa valeur. Elle a beaucoup fait parler d’elle depuis sa première exposition en 2019 à Miami.
 
Le propriétaire d’une des oeuvres reçoit un certificat d’authenticité ainsi que des instructions sur la manière de remplacer le fruit lorsqu’il commence à pourrir.
 
Justin Sun a comparé vendredi les oeuvres conceptuelles comme “Comedian” à l’art NFT (“jeton non fongible”) et à la technologie blockchain décentralisée.
 
“La plupart de ces objets et idées existent en tant que (propriété intellectuelle) et sur internet, par opposition à quelque chose de physique”, a-t-il souligné.
 
Justin Sun a par ailleurs annoncé cette semaine un investissement de 30 millions de dollars (28,4 millions d’euros) dans World Liberty Financial, plateforme de placement et d’emprunt en cryptomonnaie, soutenue par le président élu américain Donald Trump.
 
Les participants à l’événement de vendredi ont chacun reçu un rouleau de ruban adhésif et une banane en guise de souvenir.
Source: Seneweb
Fatou Kiné Loum

Emmanuel Macron : Ce que Diomaye Faye lui a dit quand il a reconnu le massacre de Thiaroye

Le président français Emmanuel Macron a reconnu qu’un « massacre » avait été commis à Thiaroye, dans un récent courrier adressé à son homologue sénégalais Bassirou Diomaye Faye. Cette démarche a beaucoup plu au président africain.  « C’est un grand pas. J’ai félicité le président Macron pour son courage et son choix de nommer les choses telles qu’elles sont. Cela traduit un état d’esprit positif et la volonté des autorités françaises de collaborer pour la manifestation de la vérité » a déclaré Diomaye Faye, dans un entretien accordé au journal Le Monde.
 
Ce « n’est pas suffisant pour autant »
 
Il souhaite toutefois que toute la lumière soit faite sur cette tragédie. La reconnaissance du massacre « n’est pas suffisant pour autant. On ne sait toujours pas combien de personnes ont été tuées ni pourquoi, comment et où elles ont été enterrées. Les archives et des fouilles archéologiques permettront d’éclairer une partie de l’histoire. Des membres du comité d’historiens que nous avons créé pour restaurer la vérité sont actuellement en France. Avec la déclaration du président Macron, nous espérons qu’ils auront accès à l’intégralité des archives françaises » a déclaré le numéro un sénégalais.
 
« Il y a dix ans, le gouvernement français parlait de « répression sanglante »
 
Quand le journaliste lui rappelle que la France estime avoir remis l’intégralité des documents sur le drame, Diomaye Faye bat en brèche : « Il y a dix ans, le gouvernement français parlait de ” répression sanglante”. Dix ans après, il reconnaît que c’était un massacre. Il y a 80 ans, il parlait de 35 morts ; 70 ans après, il était question de 70 morts. Il faut tout faire pour que la vérité puisse être définitivement établie. Cela nous permettra de passer à un partenariat dépouillé de ces scories douloureuses ».
Source: Seneweb
Fatou Kiné Loum

15e législature : les nouveaux députés seront installés le…

Dans sa livraison de ce vendredi, Le Quotidien rapporte que le Président Bassirou Diomaye Faye a signé un décret fixant la date d’ouverture de la première session ordinaire de l’Assemblée nationale nouvellement élue. Ledit décret était assujetti à la proclamation officielle des résultats définitifs des élections législatives anticipées du 17 novembre dernier. Chose faite. Le Conseil constitutionnel a rendu son verdict mercredi dernier, 27 novembre, confirmant la razzia pastéfienne.

Le successeur de Macky Sall a fixé la date d’ouverture de la première session parlementaire dès le lendemain jeudi, 28 novembre, à travers le décret numéro 2024-3290 du 28 novembre 2024, signale le journal. Qui s’interroge : «La date de l’installation de la 15e législature est connue, mais jusqu’à présent le gouvernement n’a pas encore présenté sa démission. [Alors que] celle-ci doit intervenir normalement avant le jour de l’installation des nouveaux députés.»

«Le chef de l’État, lors du Conseil des ministres du mercredi 20 novembre, avait remercié ses ministres de la qualité du travail du gouvernement durant les huit mois précédents. Ce qui laissait entrevoir l’imminence d’un remaniement qui devait intervenir sans doute après la proclamation des résultats du scrutin», relève la source.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

Incroyable histoire : l’homme d’affaires, le marabout et les bains mystiques qui ont coûté… 587 millions F CFA

Dans sa plainte déposée le 13 novembre dernier à la Division des investigations criminelles (DIC), Ch. Mb. Lèye, un homme d’affaires,  revient sur son incroyable mésaventure. Le cauchemar commence quand le plaignant a commis l’erreur de se confier à une de ses connaissances, lui narrant «ses soucis et difficultés».

B. Barry, l’ami en question, lui «vante le génie d’un faiseur de miracles répondant au nom de M. Baldé» que Lèye s’empresse de rencontrer pour bénéficier de prières et de séances de voyance. Mais, l’homme d’affaires, qui voulait «fructifier ses avoirs et développer ses activités professionnelles», sera finalement grugé. Il va perdre 587 millions de francs dans cette histoire, chiffre le journal du Groupe futurs médias.

L’entrepreneur soutient que le charlatan «lui a réclamé la modique somme de 5 000 F CFA, [lors de la première consultation], après l’avoir gratifié d’eau bénite destinée à des bains mystiques».

Seulement, confie-t-il aux enquêteurs, «depuis qu’il a pris ses bains mystiques, il s’est senti marabouté et en perte de contrôle de ses actes, [obéissant] au doigt et à l’œil aux multiples requêtes et moindres caprices du charlatan».

Transformé en machine à sous, l’homme d’affaires multiplie les versements, qui passent de 10, 27, 130 et 240 millions. Lèye, repris par L’Obs, soutient «qu’il a injecté dans cette affaire des montants destinés à l’exécution de marchés d’envergure». Il s’agit des deux derniers versements» reçus des nommés D. D. et M. L.

L’accusateur ajoute «qu’il lui est même arrivé de demander à des partenaires en affaires de transférer directement des montants dans des comptes appartenant au charlatan et à ses acolytes». Une version corroborée par les nommés S. L. et N. F. Qui confirment «avoir reversé au charlatan respectivement 27 millions 250 mille et 10 millions».

Ce n’est pas fini. «J’ai été contraint de vendre mes deux maisons, ma voiture et d’autres biens de valeur et transférer l’ensemble des fonds au charlatan et à ses complices» pour un total de 587 millions, se lamente-t-il,

M. Baldé, B. Barry et un troisième acolyte, C. Diao, confondus par
les preuves dont les reçus de transferts effectués dans leurs comptes respectifs, ont été déférés devant le procureur de la République pour associations de malfaiteurs, escroquerie en bande organisée, charlatanisme, blanchiment de capitaux, détention d’armes à feu sans autorisation.

L’enquête a établi que le principal mis en cause est un multirécidiviste. Déjà condamné pour des faits similaires, le charlatan  se faisait tantôt appeler Th. Diallo, tantôt A. Diallo, mais dans cette dernière affaire, M. Baldé avait utilisé sa véritable identité, conclut L’Obs.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum