vendredi, janvier 31, 2025
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Incroyable histoire : l’homme d’affaires, le marabout et les bains mystiques qui ont coûté… 587 millions F CFA

Dans sa plainte déposée le 13 novembre dernier à la Division des investigations criminelles (DIC), Ch. Mb. Lèye, un homme d’affaires,  revient sur son incroyable mésaventure. Le cauchemar commence quand le plaignant a commis l’erreur de se confier à une de ses connaissances, lui narrant «ses soucis et difficultés».

B. Barry, l’ami en question, lui «vante le génie d’un faiseur de miracles répondant au nom de M. Baldé» que Lèye s’empresse de rencontrer pour bénéficier de prières et de séances de voyance. Mais, l’homme d’affaires, qui voulait «fructifier ses avoirs et développer ses activités professionnelles», sera finalement grugé. Il va perdre 587 millions de francs dans cette histoire, chiffre le journal du Groupe futurs médias.

L’entrepreneur soutient que le charlatan «lui a réclamé la modique somme de 5 000 F CFA, [lors de la première consultation], après l’avoir gratifié d’eau bénite destinée à des bains mystiques».

Seulement, confie-t-il aux enquêteurs, «depuis qu’il a pris ses bains mystiques, il s’est senti marabouté et en perte de contrôle de ses actes, [obéissant] au doigt et à l’œil aux multiples requêtes et moindres caprices du charlatan».

Transformé en machine à sous, l’homme d’affaires multiplie les versements, qui passent de 10, 27, 130 et 240 millions. Lèye, repris par L’Obs, soutient «qu’il a injecté dans cette affaire des montants destinés à l’exécution de marchés d’envergure». Il s’agit des deux derniers versements» reçus des nommés D. D. et M. L.

L’accusateur ajoute «qu’il lui est même arrivé de demander à des partenaires en affaires de transférer directement des montants dans des comptes appartenant au charlatan et à ses acolytes». Une version corroborée par les nommés S. L. et N. F. Qui confirment «avoir reversé au charlatan respectivement 27 millions 250 mille et 10 millions».

Ce n’est pas fini. «J’ai été contraint de vendre mes deux maisons, ma voiture et d’autres biens de valeur et transférer l’ensemble des fonds au charlatan et à ses complices» pour un total de 587 millions, se lamente-t-il,

M. Baldé, B. Barry et un troisième acolyte, C. Diao, confondus par
les preuves dont les reçus de transferts effectués dans leurs comptes respectifs, ont été déférés devant le procureur de la République pour associations de malfaiteurs, escroquerie en bande organisée, charlatanisme, blanchiment de capitaux, détention d’armes à feu sans autorisation.

L’enquête a établi que le principal mis en cause est un multirécidiviste. Déjà condamné pour des faits similaires, le charlatan  se faisait tantôt appeler Th. Diallo, tantôt A. Diallo, mais dans cette dernière affaire, M. Baldé avait utilisé sa véritable identité, conclut L’Obs.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

Samuel Sarr : son dossier se corse

  • Après un retour de Parquet hier, Samuel Sarr sera reconduit ce mercredi devant le procureur de la République, Ibrahima Ndoye. Selon L’Observateur, le directeur général de West african energy (Wae) file droit vers l’instruction.

    «[Le] dossier dossier est sur le point d’être confié à un juge d’instruction et c’est le très méth?dique Makha Barry, juge du deuxième cabinet d’instruction près le tribunal de grande instance de Dakar, qui pourrait hériter de cette affaire épineuse», avance le journal.

    La même source indique que «Harouna Dia, puissant homme d’affaires, présenté comme l’un des bailleurs de fonds de Macky Sall durant sa traversée du désert politique, ainsi que Papa Mademba Bitèye, ex-directeur général de la Senelec et ancien président du conseil d’administration de WAE, qui n’ont pas encore été entendus par les enquêteurs, pourraient faire face à des convocations imminentes».

    Les deux pourraient être directement auditionnés par le juge d’instruction ou ce dernier peut déléguer ses pouvoirs d’investigation à la Section de recherches, à travers une délégation judiciaire, croit savoir L’Obs. Qui souffle que «l’audit initial réalisé par le cabinet Mazars, [qui avait révélé un trou de 8 milliards francs Cfa], pourrait [également] faire l’objet d’une contre-expertise» sur instruction du magistrat instructeur.

    source: seneweb

Modou Lô-Siteu : les sanctions financières sont tombées

Le règlement ne change pas. Le Comité national de gestion (CNG) de la lutte a sévi, sanctionnant financièrement les protagonistes du combat royal qui a vécu dimanche, 24 novembre. Le roi des arènes, Modou Lô, qui conserve sa couronne, et Siteu ont perdu, au total, près de 5 millions de francs Cfa pour plusieurs infractions, rapportent plusieurs sources.

Déclaré perdant, Siteu surnommé le «Tarkinda» écope d’une plus lourde sanction financière. Le lutteur de Diamaguène perd 2 millions 730 mille F CFA. Il lui est reproché, entre autres griefs, l’introduction de bouteilles de 10 litres, de surplus d’accompagnants et de l’excédent de temps d’attente, liste son manager Max Mbergane.

Quant à Modou Lô, son reliquat a été défalqué de 2 millions 030 mille F CFA. Le roi des arènes a été sanctionné pour plusieurs manquements au règlement dont l’introduction de bouteilles (1 million 250 mille) et surplus d’accompagnants (30 000).

Émigration clandestine : 75 candidats secourus à l’île aux Serpents

Ce jeudi, une opération conjointe menée par la marine nationale sénégalaise et le parc national des îles de la Madeleine a permis de secourir 75 candidats à l’émigration clandestine, regroupés sur l’île aux Serpents, la principale île de l’archipel des îles de la Madeleine, située au large de Dakar.

Les voyageurs, dont les intentions étaient de partir illégalement vers des destinations étrangères, ont été secourus à bord de la vedette sénégalaise « Taouay », qui a été mobilisée pour cette mission de sauvetage.

L’opération a permis de mettre fin à ce projet d’émigration périlleux et de protéger ces individus des dangers liés à la traversée clandestine. Ces candidats, souvent désespérés et en quête d’un avenir meilleur, risquent leur vie en prenant des routes maritimes non sécurisées dans l’espoir d’atteindre l’Europe ou d’autres continents.

Les autorités sénégalaises, notamment la marine nationale et les services du parc national des îles de la Madeleine, redoublent d’efforts pour lutter contre l’émigration clandestine et protéger les vies humaines. Cette opération rappelle la nécessité de renforcer les actions préventives et informatives sur les risques de l’émigration illégale.

La situation de ces candidats à l’émigration demeure un défi pour les autorités sénégalaises, qui continuent de mener des opérations pour intercepter les tentatives d’émigration clandestine.

source: ledakarois

L’ancien président Macky Sall ne pourra pas voter aux législatives du 17 novembre : voici pourquoi !

L’ancien président sénégalais Macky Sall pourrait marquer une nouvelle étape dans son parcours politique le 17 novembre prochain en devenant le premier ex-chef d’État du pays à s’abstenir de voter lors d’une élection générale, non pas par interdiction, mais par choix. Après avoir été investi tête de liste de la coalition Takku-Wallu pour les législatives anticipées de 2024, Macky Sall, résidant depuis son départ de la présidence à Marrakech au Maroc, ne pourra en effet accomplir son devoir de vote depuis l’étranger.

Inscrit sur les listes électorales de la commune de Fatick, il est officiellement rattaché au bureau n°3 du Collège Thierno Mamadou Sall, où il avait voté en mars dernier lors de l’élection présidentielle. Or, en raison de l’absence de révision exceptionnelle des listes électorales décidée par le Conseil constitutionnel le 12 juillet 2024, aucun changement de lieu de vote n’a été rendu possible dans le cadre de ces législatives.

Bien que Macky Sall puisse, en théorie, revenir au Sénégal pour voter, cette hypothèse semble improbable. Il a jusqu’ici évité la campagne électorale, et son retour pourrait susciter des tensions, certains partisans du pouvoir actuel ayant évoqué l’idée de le juger pour des actes présumés commis durant son mandat. Cette menace n’a pas été officialisée, mais elle pourrait dissuader l’ancien président de rentrer au pays.

Source: Senego

Fatou Kiné Loum

Fuite de sex-tape de Baltasar Engonga : la Guinée équatoriale réduit le flux internet

La diffusion virale sur les réseaux sociaux de plusieurs vidéos montrant un haut fonctionnaire en pleine action sexuelle dans son bureau agite la Guinée équatoriale, poussant les autorités à réduire le flux internet et à annoncer de possibles sanctions.

Dans les sex-tapes, on reconnait le directeur de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF), Baltasar Ebang Engonga, avec différentes partenaires, dont des épouses de dignitaires, dans son bureau au ministère des Finances.
 
Le vice-président du pays Teodoro Nguema Obiang Mangue a annoncé lundi sur son compte X que le gouvernement allait “procéder à la suspension immédiate de tous les fonctionnaires qui ont eu des relations sexuelles dans les bureaux des ministères car cela constituent une violation flagrante du code de conduite et de la loi sur l’éthique publique”.
Ce n’est pas la première fois que des sex-tapes impliquant des fonctionnaires fuitent sur les réseaux sociaux, mais l’affaire a pris une ampleur inédite du fait de la notoriété des protagonistes.
 
La semaine dernière, M. Obiang avait déjà annoncé sur X avoir “donné 24 heures au ministère des télécommunications et nouvelles technologies, entreprises de téléphonie et organe de régulation des télécommunications pour trouver une mesure visant à freiner la diffusion des vidéos pornographiques qui inondent les réseaux sociaux de Guinée équatoriale”.
 
“Il s’agit des femmes mariées qui participent et s’enregistrent dans des actes qui dégradent leur réputation et leur dignité, en tant que gouvernement nous ne pouvons pas continuer de voir les familles se détruire” a dit le vice-président en charge de la Défense et de la Sécurité.
 
Selon des informations propagées par des groupes Whatsapp puis relayées sur Facebook, Instagram, Tiktok  ou X,  il existerait plus de 400 vidéos pornographiques tournées par Baltasar Ebang Engonga dans son bureau.
 
Surnommé “Bello” du fait de son physique avantageux, cet homme marié, père de famille est le fils de Baltasar Engonga Edjo, l’actuel président de la commission de la Communauté économiques et monétaire d’Afrique central CEMAC. Il est apparenté au président de la République.
 
Les sex-tapes ont fuité sur les réseaux sociaux alors qu’il avait été placé en détention préventive à la prison Black Beach de Malabo dans une affaire de détournement de fonds publics selon la télévision d’Etat TVGE. La période à laquelle les vidéos ont été tournées n’est pas connue.
 
Le procureur général de la République Anatolio Nzang Nguema a assuré à la TVGE que si les examens médicaux révélaient qu’il était “infecté d’une maladie sexuellement transmissible”, il serait poursuivi pour délit contre la “santé publique”.
 
Avec les mesures prises par les autorités pour freiner le partage des sex-tapes, le flux internet et notamment le téléchargement d’images est fortement perturbé dans le pays, selon des témoignages recueillis par l’AFP.
 
Selon les informations qui circulent sur les réseaux sociaux, la diffusion d’autres vidéos impliquant d’autres protagonistes, hommes et femmes, pourrait intervenir dans les prochains jours.
Source : Seneweb
Fatou Kiné Loum

Bène Tally: une étudiante «accouche» deux mois après son mariage et…

Fin de cavale pour A. Dieng. L’étudiante âgée de 21 ans est au cœur d’une affaire d’infanticide qui secoue Bène Tally. Selon L’Observateur, qui donne l’information, la demoiselle, native du village de Mbewane Thiathiao, situé à Thiès, et qui avait déposé ses baluchons dans ledit quartier dakaroise, a contracté une grossesse, fruit de sa relation amoureuse. Le journal du Groupe futurs médias ne dit pas comment les choses se sont terminées avec son amant, mais A. Dieng est parvenue à cacher son état à son entourage. A tel point que ses proches l’ont «donnée» en mariage, avance la même source. Qui croit savoir que «la jeune femme a préféré continuer de garder le secret de sa grossesse [afin de] trouver une solution de sortie heureuse» à sa situation.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum

Deux enfants découverts décapités, leur mère interpellée et hospitalisée

Deux enfants, âgés d’un et quatre ans, ont été découverts décapités chez eux dans la nuit de lundi à mardi à Sainte-Rose (Basse Terre), en Guadeloupe, a appris l’AFP auprès du Parquet de Pointe-à-Pitre, confirmant une information de Radio Caraïbes International.
 
Interpellée, la mère des enfants a été placée dans un premier temps en garde à vue puis libérée pour incompatibilité psychiatrique et hospitalisée, selon la même source. Une enquête pour “meurtre par ascendant sur mineurs de moins de 15 ans” a été ouverte, selon Caroline Calbot, procureure de Pointe-à-Pitre.
Source Seneweb
Fatou Kiné Loum

Présidence du Cng : grave accusation contre la ministre des Sports

Nommé conseiller du nouveau président du Comité national de gestion (CNG) de la lutte, Doudou Ndiaye Diecko a rejeté l’offre avant de claquer la porte. Interrogé par L’Observateur, le président des amateurs de lutte énumère les raisons de sa démission.

D’emblée il constate pour le regretter «que l’actuelle ministre des Sports [Khady Diène Gaye] n’a aucune considération pour le monde de la lutte». La preuve, soutient-il, «elle a attendu jusqu’au dernier moment pour nous informer de sa décision de convier les acteurs de la lutte.» Diecko de poursuivre : «C’est le lundi qu’elle nous a envoyé l’invitation pour une rencontre qui devait se tenir le mardi à 10h. Elle pouvait au moins nous envoyer cette invitation 48 heures avant. Ce n’était pas possible de convoquer tous les acteurs de la lutte en moins de 24 heures. C’est la première raison de ma démission au poste de conseiller.»

Il formule ainsi la «deuxième raison» de son départ : «[Celle-ci] reste le choix du [successeur de Bira Sène]. On a vu qu’elle a préféré appeler les lutteurs pour faire leur choix concernant le président du CNG. Les lutteurs n’ont jamais participé à l’élection du président du CNG parce qu’ils sont en activité. Est-ce que vous avez une fois vu des footballeurs participer à l’élection du président de la Fédération sénégalaise de football [FSF] ? Non, jamais. C’est pareil pour la lutte. Les lutteurs n’ont pas d’avis à donner pour le choix du président.[…].»

Pire, il fait de graves accusations concernant la nomination de l’arbitre Malick Ngom. «A l’issue des votes, Bira Sène avait devancé son challenger. Mais, la ministre a préféré nommer Malick Ngom parce que ce dernier est de Pastef», martèle l’interlocuteur du journal du Groupe futurs médias.

Source: Seneweb

Fatou Kiné Loum