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Ville de Dakar : Le bureau municipal «déchire» le communiqué de la Police nationale !
Après le communiqué de presse publié ce mardi par la Police pour démentir tout blocage de la visite de chantiers de Barthélémy Dias et l’interdiction de l’accès de l’hôtel de ville aux élus, la réplique du bureau municipal ne s’est pas faite attendre.
«La Ville de Dakar dément formellement les affirmations contenues dans le communiqué de la Police nationale en date d’aujourd’hui, concernant les prétendus blocages des activités de Monsieur Barthélemy Dias, Maire de Dakar, ainsi que des conseillers municipaux». Telle est la réplique du bureau municipal de la ville de Dakar, suite au communiqué de la police nationale.
En effet, dans un communiqué de presse partagé par Pape Konaré Diaité, le chargé de Communication, ledit bureau déclare que «les accès à l’Hôtel de Ville de Dakar ont bel et bien été bloqués par les forces de l’ordre, empêchant ainsi l’entrée aux conseillers municipaux.» Il s’agit là, précisent-ils, d’un «fait incontestable, comme en attestent les images et vidéos largement diffusées sur les réseaux sociaux, que l’ensemble des Sénégalais ont pu visionner.»
Le bureau municipal précise que cette situation a été constatée par un huissier de justice qui a dressé un procès-verbal de fermeture des accès à la Mairie de Dakar. De plus, ils informent que devant ce blocage, une forte délégation d’adjoints au Maire s’était rendue à la Préfecture de Dakar pour rencontrer le Préfet par intérim. Ce dernier a, disent les memebres du bureau municipal, «confirmé avoir donné des instructions à la Police et a précisé qu’il allait consulter ses supérieurs hiérarchiques à ce sujet.»
Et le même jour, ajoute le bureau municipal, un dispositif policier impressionnant a été déployé pour interdire au Maire de Dakar de visiter les chantiers de la Ville. «Ce qui constitue une entrave directe à l’exercice de ses fonctions. Ces entraves à l’exercice normal des responsabilités du Maire et de son équipe municipale sont inacceptables et ne respectent pas l’autorité légitime des élus de la Ville de Dakar», dénonce-t-il.
Source: Igfm
Fatou Kiné Loum
Affaire Barthélémy Dias : Ce que le F24 dénonce vigoureusement…
Le F24 a fait face à la presse ce mercredi. Mamadou Mbodj et ses camarades se sont exprimés sur la situation politique actuelle du pays, marquée par l’affaire Barthélémy Dias. Le coordonnateur du Front a dénoncé la manière dont les choses se sont passées à la mairie de Dakar.
Source: Igfm
Fatou Kiné Loum
Italie : un Sénégalais tente de tuer un policier, le film de l’agression
Arrêté par Interpol : Doro Gaye pisté grâce aux achats de son épouse
MINISTERE DU COMMERCE ET DE L’INDUSTRIE :Le marché de Colobane met en garde Serigne Gueye Diop
Le ministre a révélé qu’une interdiction de la friperie, secteur dans lequel de nombreux jeunes sont impliqué, serait prochainement mise en place. Ce marché tentaculaire au cœur de Dakar, où toute sorte de friperie est vendu, des magasins rempli de sacs de tout genre, des camions chargeant la marchandise pendant que d’autres font la décharge, Colobane est un marché où plus de 5 millions de jeunes qu’ils soient dans la capital ou dans les régions, s’approvisionnent en friperie . Ainsi, ces commerçants et travailleurs trouvent qu’il serait injuste d’interdire l’importation de la friperie, une mesure annoncée par le ministre du commerce. C’est le cas de Mbaye Niang commerçant de « feug jaay » au marché de Colobane. Trouvé dans son magasin remplie de sacs contenant des vêtements de friperie, le quadragénaire explique. « Je pense que le ministre n’est pas conscient de l’importance de la friperie dans le pays car c’est une activité qui participe dans l’économie du pays. Cette activité ne s’arrête pas seulement à Dakar mais dans les 14 régions du Sénégal permettant à plus de 5 millions de jeunes dont des vendeurs, des acheteurs ainsi que des importateurs d’avoir du travail et d’être autonomes. C’est pour cette raison que je trouve qu’il serait difficile d’interdire cette activité dans le pays pour la remplacer avec une autre » affirme-t-il et d’ajouter « je demande au ministre de s’approcher des vendeurs de friperie pour connaitre les réalités qui sont dans ce secteur avant de prendre cette mesure. Nous travaillons généralement avec des bailleurs de fonds et des banquiers qui y font de grands investissements. Donc, s’il interdit cette activité, un grand nombre de personnes du pays ira en ruine, et plus grave, cela peut impacter négativement l’économie du pays ».
ECONOMIE/ PETROLE ET GAZ: le Sénégal aura des miettes jusqu’en 2027
En effet, selon senewebnews, d’après le projet de loi de finance initial pour l’année 2025, “les estimations des recettes sont arrêtées pour les années 2024, 2025, 2026 et 2027, avec des montants respectifs de 49,65 milliards de FCFA, 72,23 milliards de FCFA, 87,87 milliards de FCFA et 155,20 milliards de FCFA”. Autrement dit, sur les 6395 milliards du budget de l’année 2025, l’exploitation des hydrocarbures ne participe qu’à hauteur de 72,53 milliards de FCFA, soit une contribution largement inférieure à 1%. Et jusqu’en 2027, le pays n’aura pas plus de 155, 20 milliards de rentrées de fonds dans les caisses de l’Etat.
Source: senewebnews
Le secteur privé noue des relations économiques avec le corps diplomatique arabo-islamique.
L’Union Nationale des Chambres de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture du Sénégal (L’UNCCIAS), a organisé ce jeudi 12 décembre 2024, une rencontre stratégique avec le corps diplomatique arabo-islamique afin de renforcer les relations économiques du pays. Cette rencontre permet ainsi de promouvoir une coopération durable entre le Sénégal et les pays arabo-islamiques dans les domaines économiques, commerciaux et culturels.
Avec comme thème « renforcement des relations commerciales, économiques et culturelles », l’UNCCIAS a pour objectif de nouer des relations économiques pour développer le partenariat de l’investissement mutuelle à travers cette rencontre avec le corps diplomatique arabo-islamique selon Seurigne Mboup, président de l’UNCCIAS. « Nous le secteur privé et l’ensemble des ambassadeurs, sommes là aujourd’hui pour nouer des relations économiques avec les pays arabo-islamiques suivant une logique de coopération gagnant-gagnant. Ainsi, concernant les secteurs de travail, nous n’avons pas de limite mais, il faut reconnaître que l’agriculture et l’industrie restent les secteurs majeurs. Nous travaillons le plus sur ces deux secteurs privés pour garantir la sécurité alimentaire pour nous et pour l’export, promouvoir l’agro-industrie et la modernisation des pratiques grâce à des technologies innovantes. L’industrie nous permet de valoriser nos ressources locales à travers la transformation et le renforcement de nos chaines de valeur afin d’être plus compétitifs sur les marchés régionaux et internationaux », a-t-il expliqué.
Pour lui, les débouchés pour les étudiants en arabe peuvent se multiplier dans l’avenir car cette initiative est inscrit dans le projet 2050. « Le président de la république Mr Bassirou Diomaye Faye a déjà recruté un arabophone qu’il a confié le conseil islamique et actuellement, ils sont en train de prendre les CV de ces ressortissants arabophones pour les insérer dans l’administration et dans les ambassades. Et nous, à notre niveau, allons faire de même pour pouvoir communiquer avec les pays arabes dans leurs langues officielles et en même temps permettre aux étudiants qui ont choisi d’apprendre l’arabe de travailler. Ceci permet également au Sénégal d’offrir du main d’œuvre aux pays arabes qui voudrons travailler avec notre pays dans le future », soutient-il.
Assainissement, rationalisation : après la presse, Diomaye Faye vise les partis politiques
Kassé croit savoir qu’aucune formation politique sénégalaise ne remplit en ce moment l’ensemble des critères légaux tels que l’existence d’instances qui fonctionnent (Comité central, bureau politique, secrétariat…) et la publication du bilan financier. Pas même Pastef (pouvoir). En tout cas pour ce qui est du dépôt des comptes, souligne Ousmane Badiane, le chargé des élections de la Ligue démocratique (Ld). «Ni le parti ou la coalition au pouvoir ni l’opposition ne le fait, affirme-t-il, toujours dans L’Observateur. Et comme personne ne le fait, c’est difficile d’appliquer la loi. On ne peut pas l’appliquer aux uns et laisser les autres.»